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vendredi, 26 avril 2024
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France : le discours sur l’Algérie de José Gonzalez au parlement scandalise la gauche 

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France – Le doyen des députés, José Gonzalez, a tenu des propos au sujet de sa terre natale, l’Algérie, qui ont suscité l’ire des élus de la coalition de gauche. On expose pour vous les détails dans les paragraphes qui suivent.

Composée de 215 femmes et 362 hommes, la nouvelle assemblée nationale élue lors des élections de juin s’est réunie ce mardi en séance publique. Cette première séance marque l’ouverture de la seizième législature. Lors de cet événement, le doyen des députés en France, José Gonzalez, a évoqué l’Algérie. Toutefois, son allocution a choqué la gauche. On expose pour vous ses propos dans cette édition du mercredi 29 juin 2022.

En effet, l’homme politique a présidé, hier, la première séance de la nouvelle mandature. Cela en vertu du règlement de l’Assemblée nationale. Dans son discours inaugural, il a affiché sa nostalgie du passé. Notamment à sa terre natale, l’Algérie. Il s’est remémoré ainsi de sa jeunesse qu’il a passée à Oran. Cela, avant l’indépendance de notre pays en 1962.

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Dans ce sens, le député du RN a prononcé « J’ai laissé là-bas une partie de ma France et beaucoup d’amis ». « Je suis un homme qui a vu son âme à jamais meurtrie », a-t-il poursuivi, avant de s’interrompre sous le coup de l’émotion. Des applaudissements ont alors éclaté dans les travées du parlement. Il s’agit de ce que rapporte le média français Le Point.

La Nupes choquée suite à l’allocution de José Gonzalez

Cependant, ses propos ont fait tiquer un bon nombre de politiciens dans le camp de la Nupes. On cite notamment la membre d’EELV, Sandra Regol, qui a commenté « Je suis abasourdie. Quelle déchéance ». Ou encore le député insoumis, Thomas Portes, qui a déploré la situation. « Horreur et dégoût », a-t-il écrit sur son compte Twitter.

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À son tour, Sabrina Sebaihi a exprimé son indignation. Elle décrit, en effet, l’homme de 79 comme un « nostalgique des assassins de l’OAS », avant d’ajouter en lettres capitales « jour de HONTE ». Une première controverse qui accentue les tensions entre la gauche et la droite dès la première séance publique de l’Assemblée nationale.

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