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vendredi, 26 avril 2024
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Voici le nombre d’étudiants Algériens qui partent en France chaque année

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France – Un nombre très important d’étudiants algériens, estimé à 29.527 pour l’année 2019-2020, choisissent la France comme pays de destination, pour leur cursus universitaire.

En effet, selon Campus France, les étudiants algériens qui représentaient seulement 2 % des 1,8 million d’étudiants venant de l’étranger, ont désormais atteint le nombre de 29.527 pour l’année 2019-2020 à choisir la France comme destination pour faire leurs études. La mobilité estudiantine, qui constitue à présent une vraie forme de migration, serait en pleine croissance, notamment dans les pays africains. 

De même que cette forme de migration pourrait atteindre les neuf (09) millions d’étudiants d’ici 2025. Car, en se basant sur les chiffres actuels, cette mobilité a augmenté de 39 % en cinq (05) ans vers la France. Mais aussi de 37 % vers d’autres pays. Comme le Canada, les Etats-Unis, les pays membres de l’UE et les pays arabes, selon le quotidien francophone El Watan.

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Cependant, la mobilité vers l’Algérie est beaucoup moins importante, car seulement 14.000 étudiants étrangers ont choisi l’Algérie comme destination. Dans ce sens, plusieurs études ont été menées pour déceler les raisons. Notamment, identifier la trajectoire des étudiants algériens qui partent terminer leurs études en France. Mais aussi, celle des étudiants étrangers en Algérie.

Des perspectives totalement différentes pour ces deux catégories d’étudiants

En effet, des projets d’études universitaires totalement différents séparent les deux catégories. Notamment, pour ce qui est des procédures d’admission, de la facilité d’adaptation. Mais aussi, des perspectives à la fin des études. Les étudiants étrangers en Algérie semblent beaucoup plus loyaux envers leur pays. 

Il est à noter que ces étudiants, dont la majorité sont des boursiers, sont comme liés d’un contrat moral avec leurs pays. Tandis, que les étudiants algériens en France, sont pour la plupart, financés par leurs familles. D’autant plus, qu’il serait beaucoup moins important pour eux de revenir dans leur pays d’origine. Mais plutôt de poursuivre leurs rêves et de s’épanouir ailleurs.

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