Algérie – Une étudiante algérienne qui réside dans une cité universitaire a partagé la photo de sa chambre sur les réseaux sociaux et autant vous dire que les réactions des internautes sont épiques !
Alors que les étudiants ont repris le chemin de l’université, certains d’entre eux ont aussi fait leur rentrée dans les résidences universitaires. Entre les procédures d’inscriptions suivies par l’étape du grand ménage et l’achat de petites bricoles pour être bien installé et s’y sentir comme chez soi, c’est la course contre-la-montre ! C’est le cas de cette étudiante algérienne qui a tenu à partager la photo de sa chambre universitaire sur Facebook.
En effet, de nombreux jeunes Algériens ont choisi de prendre un logement étudiant au sein des cités universitaires. Il faut savoir que chaque année, des milliers d’étudiants choisissent de résider dans une chambre en cité universitaire. Une décision motivée par des raisons personnelles ou de proximité avec leur faculté.
Effectivement, certains étudiants qui optent pour des universités hors de leurs wilayas ont le choix entre la location d’un appartement ou d’internat dans une cité universitaire. Pour y vivre, les étudiants doivent formuler une demande. Cette demande doit d’ailleurs se faire assez tôt. Oubliez donc cette option si vous vous y prenez trop tard.
Les commentaires hilarants des internautes
À présent, revenons au cas de l’étudiante qui a pris en photo sa chambre et l’a partagé sur les médias sociaux. La photo en question montre un lit superposé de trois (3) étages dans une chambre plus ou moins spacieuse. Jusque-là, tout semble normal. Sauf que dans les commentaires sous la publication, les internautes se sont un peu trop emballés.
Dans la section commentaire « les plus pertinents », on peut lire certaines réactions hilarantes. À l’image de cet internaute qui écrit sur le ton de l’humour « en dessous, elle peut même louer des garages ». « Celle qui dort en haut se chargera d’éteindre la lumière », plaisante un autre. « Tu peux même nettoyer le plafond, tant que tu y es », écrit une autre.
