Algérie – Les retraités de Sonatrach mécontents, lancent un appel au ministre des Énergies et des mines concernant leurs doléances autour des primes et de leurs pensions de retraites. Les détails, juste ici.
En effet, les retraités de la Sonatrach en Algérie ont lancé un appel urgent au ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab ainsi qu’au directeur général du groupe Toufik Hakkar au sujet de leurs préoccupations à propos de l’IRG, de leurs primes et des pensions de retraite. C’est en tout cas selon ce que rapporte le quotidien arabophone Echorouk dans son édition d’hier que nous vous reprenons ce jeudi 04 novembre.
Effectivement, les retraités au nombre de 3.000 personnes ont adressé une lettre de doléance au patron du groupe Sonatrach ainsi qu’au responsable premier du secteur de l’Énergie et des mines. Dans laquelle ils réclamaient leurs droits. Expliquaient ce qu’ils qualifiaient d’« injustice » dont ils ont été victimes.
C’est après leur exclusion et par décision de la Mutuelle de l’industrie du pétrole le 22 janvier 2020 passé des avantages du régime public. Prétextant qu’ils n’ont pas payé leur part de cotisations. Cela après avoir perçu les subventions supplémentaires estimées à 20 %. C’était par une décision de justice rendue par le tribunal de Chéraga en 2019.
Les retraités de la Sonatrach dans le flou
Dans leur entretien avec le média précité, les retraites se sont interrogés sur les raisons de leur exclusion. Mais aussi à propos de la prime dont ils ont été privés durant des années. Alors que le tribunal de Chéraga s’était précédemment penché sur cette affaire. Il a fini par statuer cette subvention en passant par un huissier de justice.
Les retraités se sont interrogés sur les motifs de cette sanction avec l’exclusion définitive du régime public. Ainsi que le gel sur les assurances sociales pour ses bénéficiaires. Tout en refusant la réévaluation du calcul de leurs pensions de retraite conformément à l’article 28 de la nouvelle loi.
Ce dernier stipule l’application de la loi dans leurs cas. C’est en leur accordant tous les droits dont jouissent les restes des retraités de l’entreprise. Toujours d’après la même source.