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vendredi, 26 avril 2024
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Algérie : Vers la hausse du salaire minimum (SNMG) et des retraites

Publié le

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Algérie – Dans une démarche d’amélioration du pouvoir d’achat des citoyens, le gouvernement compte réviser les salaire minimum du secteur public et privé, parallèlement à l’introduction d’une retraite supplémentaire.

Le plan d’action du nouvel exécutif inclut la réforme des salaires et de la retraite, a rapporté le média arabophone Echorouk. Des questions qui n’ont pas été abordées par les gouvernements précédents depuis, et ce, depuis 2006. 

En effet, le plan d’action qui sera discuté devant l’APN à partir du 11 février comporte un volet sur la révision du salaire national minimum garanti, communément appelé le SNMG. Revu légèrement à la hausse dans la foulée  par le gouvernement Ouyahia en 2012, ce dernier s’élève à 18 mille dinars.

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Face à ce constat, l’exécutif en place se serait ainsi engagé à augmenter le SNMG afin de garantir un revenu décent et améliorer le pouvoir d’achat du citoyen algérien, indique la même source qui précise par ailleurs que des réunions tripartites entre le gouvernement, les acteurs économiques et les partenaires sociaux verront le jour très prochainement, en vue de déterminer un nouveau salaire minimal.

Cette réforme salariale se fera en deux étapes, le gouvernement révisera dans un premier temps les salaires des différents secteurs économiques avant de procéder à une réforme globale du système de paiement des salaires dans la fonction publique, souligne la même source.

Les retraités concernés par la réforme salariale ?

Outre la question du salaire minimum, le nouveau gouvernement se serait également engagé à établir des dispositifs administratifs afin de préserver et améliorer la sécurité sociale mais également rehausser la retraite en travaillant à élargir le champ de cotisations.

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Souffrant d’un gouffre financer estimé à 600 milliards de DA, le déficit del a caisse des retraites est principalement dû aux sommes non recouvrées par les caisses de sécurité sociale. Dans ce sens, l’exécutif en place explique dans son plan de travail qu’il cautionne la mise en place d’une branche retraite complémentaire au niveau de la CNR pour permettre l’amélioration du pouvoir d’achat des retraités bénéficiaires.

Il est utile de rappeler que les personnes âgées de plus de 60 ans représentent environ 9% de la population algérienne totale. Tandis que les dépenses de retraites ne représentent que 6% du PIB de l’Algérie.

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