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vendredi, 26 avril 2024
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Impôts en Algérie : IBS à 5%, TVA à 2%, taxes sur l’immobilier, Mesdour propose

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Algérie – L’économiste Fares Mesdour propose de nombreuses solutions pour faire face au marché parallèle en Algérie, parmi elles, revoir le système des impôts, avec des IBS et TVA allégés et revus à la baisse.

En effet, intervenant sur la chaîne Beur TV, ce lundi 22 mars 2021, le professeur Fares Mesdour, revient sur les pratiques à mettre en place par le gouvernement algérien pour arrêter les activités liées au marché parallèle. Parmi ces propositions, il estime qu’il serait temps de revoir le système des impôts en Algérie, avec des IBS et TVA allégés.

Dans le détail, l’expert déclare que le système fiscal en Algérie est très compliqué. La solution, selon lui, serait de le changer et de le simplifier. Il s’agit d’appliquer un IBS (Impôt sur le Bénéfice de la Société) à 5 % pour tous les secteurs d’activité, au lieu des 26 % imposés.

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| Lire aussi : Algérie : Des députés appellent à la baisse des impôts et taxes

Il ajoute qu’il faudrait aussi revoir la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée). Cette dernière, qui est passée à 19 % en 2018, doit être fixée à 2 %, propose-t-il. De même pour la TAP (Taxe sur activité professionnelle). Lors de la même entrevue, Mesdour indique qu’il est injuste d’appliquer une taxe sur le Chiffre d’affaires de la société.

Pour ce qui est du domaine de l’immobilier, qui demeure parmi les secteurs les plus affectés par cette crise économique. Plusieurs taxes y sont assimilées. Mesdour plaide pour la suppression de ces frais. Ceux à payer lors de la vente ou l’achat d’un bien immobilier en Algérie. Il cite l’ISPV, qui est la taxe imposée sur la plus-value. Ce qui représente l’écart entre le prix d’achat et le prix de vente.

| Sujet connexe : Impôts en Algérie : Voici les mesures fiscales 2021 (vidéo)

Ceci dit, l’interlocuteur sur la chaîne Beur TV, précise que ce qui fait fuir les professionnels et commerçants du circuit légal en Algérie seraient le système fiscal mis en place. Ainsi, ces opérateurs préfèrent pratiquer clandestinement. Au lieu de subir des amendes qui pourraient anéantir leur activité et impacter leur profit.

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