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samedi, 27 avril 2024
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Finance islamique en Algérie : vers la levée d’impôts pour comptes dépôt ? 

Publié le

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Algérie – Dans l’optique de promouvoir les opérations de la finance islamique, le PLF 2022 introduirait de nouvelles dispositions, notamment l’exonération d’impôts pour les détenteurs de comptes de dépôt. Apprenez plus à cette affaire, ce mardi 12 mardi 2021.

En effet, lors de la présentation du Plan d’action du gouvernement, le Premier ministre avait mis en exergue l’importance de la finance islamique. Cela dans la mobilisation de l’épargne et le financement économique. Ainsi, dans l’optique d’encourager la finance bancaire islamique en Algérie, le gouvernement aurait érigé une série de mesures, à l’image de l’exonération d’impôts en faveur des détenteurs de comptes de dépôt.

Si l’on croit au média généraliste El Bilad, le projet de la loi de 2022 aurait dispensé de la taxe appliquée sur certaines opérations et services bancaires. L’exonération d’impôts concernerait les opérations de dépôt réalisées dans les établissements bancaires islamiques, régis par les préceptes de la Charia. Il est question de toute façon de ce que précise la source médiatique susmentionnée dans son édition de ce lundi.

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L’exonération d’impôts des détenteurs de comptes dépôt : les objectifs du gouvernement

La mesure contenue dans le PLF, incite ainsi les citoyens à épargner leur richesse dans les banques islamiques. Cela afin de promouvoir les opérations bancaires relevant de la finance islamique. Il convient de noter qu’outre les établissements bancaires spécialisés, la majorité des banques publiques ont, déjà, lancé ce type de prestations. Il s’agit là aussi de ce dont nous informe le média arabophone susvisé.

Par ailleurs, les autorités algériennes, viserait à inclure les encaisses monétaires des citoyens dans le circuit économique. Selon la source médiatique précitée, la démarche tend aussi à lutter contre la thésaurisation. À la différence de l’épargne, cette dernière est improductive et ne fait pas fructifier son bien.

Pour mémoire, depuis le lancement de la finance islamique, une progression des chiffres d’affaires des banques islamiques a été constatée. On cite notamment l’établissement financier Al Baraka qui a dépassé un taux de rentabilité de 30 %. Ainsi qu’Al Salam Bank qui surpasse un taux de 20 %. Cela, malgré la crise sanitaire et les complications économiques que traverse l’Algérie.

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