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jeudi, 25 avril 2024
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Finance islamique en Algérie, crédit halal : quel bilan depuis le lancement ?

Publié le

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Algérie – Depuis le lancement de la finance islamique, de plus en plus de personnes se tournent vers le crédit halal, une progression des chiffres d’affaires des banques islamiques est constatée dernièrement. Plus d’informations sont disponibles ci-dessous, ce mardi 17 août 2021. 

La finance islamique s’est lancée récemment en Algérie et le crédit halal à su attirer des prétendants. Elle est fondée sur les principes de la loi islamique. Elle offre des produits et services bancaires islamiques aux particuliers conformément à la charia. La finance islamique intéresse alors de plus de monde. D’ailleurs, elle enregistre des chiffres satisfaisants. 

En effet, d’après le quotidien national l’Expression, les deux banques islamiques, Al Baraka et Al Salam, ont enregistré une hausse de leurs chiffres d’affaires. La banque Al Baraka dépasse un taux de rentabilité de 30 % alors qu’Al Salam Bank surpasse un taux de 20 %. Des avancées plutôt intéressantes surtout en cette période de crises sanitaire et économique.

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Malgré la crise sanitaire qui s’est abattue sur le pays ainsi que les complications économiques que traverse l’Algérie, les banques islamiques se sont surpassées. Elles réalisent un chiffre d’affaires qui connaît une évolution ascendante. “Le taux de rentabilité financière a atteint 8,5 % pour le secteur public. Et 14 % pour les banques privées”. C’est ce que déclare un expert financier qui trouve ces taux encourageants.  

Le moteur de cette hausse en chiffres d’affaires

Différents éléments sont la raison de cette hausse. Particulièrement, la conjugaison subtile de l’économie réelle avec la charia islamique. Les clients peuvent ainsi éviter d’avoir recours à la Riba (usure). 

Sans oublier, la tarification aux nombreux avantages à de petits coefficients d’exploitation. Il y a également le modèle d’entreprise des banques islamiques qui a des risques faibles si on le compare aux banques classiques.

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Selon la même source, le ministre des Finances Aymen Benabderrahmane affirme que souscrire au guichet islamique assure un intérêt supérieur à l’intérêt proposé par la souscription à un guichet classique.

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