Algérie – Un homme d’affaires franco-algérien et membre de la délégation d’Élisabeth Borne donne ses impressions après la visite de cette dernière. Pour les curieux, ne bougez pas ! On vous en dit plus, juste ci-dessous dans cette nouvelle édition du mardi 11 octobre 2022.
En effet, un membre de la délégation d’Élisabeth Borne s’est exprimé dernièrement au sujet de la relance des relations bilatérales et de la coopération rénovée entre l’Algérie et la France. Vous êtes intéressé et vous voulez en savoir davantage ? Ça tombe bien ! On vous livre, dans ce nouveau numéro de Dzair Daily, plus de détails à cet égard.
En fait, l’interlocuteur répond au nom de Malik Henine. Il est le fondateur et le gérant de AIRENC. Il s’agit là d’une « plate-forme de mise en relation pour les industriels pour fluidifier leur Supply Chain de composants électroniques ». C’est ce que rapporte le quotidien francophone l’Expression dans son récent numéro. On vous dévoile ses propos dans cette deuxième partie de l’article.
Partenariat entre l’Algérie et la France : Malik Henine très optimiste
Effectivement, c’est plus ou moins ce qu’a déclaré l’homme d’affaires franco-algérien lors d’un entretien accordé, ce mardi 11 octobre 2022, au quotidien susmentionné. Dans le détail, le membre de la délégation d’Élisabeth Borne a expliqué qu’il a eu l’occasion de visiter un incubateur qui présente de très beaux projets.
Parmi eux, la moitié des besoins en composants électroniques. Ce qui est « très intéressant » aux yeux de l’intervenant qui a eu « une impression très positive » suite à cette visite. En ce qui concerne la réalisation sur le terrain, des projets convenus, Malik Henine se dit très optimiste.
Il reste, toutefois, conscient des enjeux de ce partenariat entre l’Algérie et la France. À ce propos, le responsable a expliqué : « On a déjà discuté avec les banques, notamment les transferts de devises ». Avant de poursuivre : « Il y a aussi les sujets relatifs à l’importation et la revente des composants électroniques, ainsi que les difficultés de revente en l’état ».
Pour conclure, le gérant de AIRENC se dit complètement au courant des obstacles qui ne sont pas des limites pour lui. Ce qui le laisse croire qu’il y aura « des débouchées très concrètes ». D’ailleurs, Malik est encore plus confiant, car il a l’habitude de « démarrer par un pack pour voir toutes les difficultés » étant un startupeur. C’est ce dont a fait état la même source.