Culture – La ministre de la Culture, Soraya Mouloudji, a déclaré que les nouvelles wilayas résultantes du dernier découpage administratif en Algérie vont bénéficier des projets culturels aussi bien que le reste des wilayas. Dzair Daily vous en dit davantage dans l’édition de ce samedi 11 juin 2022.
Lors de la cérémonie de célébration de la journée nationale du livre et de la bibliothèque en Algérie, la ministre de la Culture et des Arts a fait une déclaration. Il convient de rappeler que l’an dernier, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété le 7 juin comme étant la journée nationale du livre et de la bibliothèque. Cette date commémore l’incendie de la bibliothèque de la Fac centrale le 07 juin 1962.
À cette occasion, un colloque scientifique a été organisé. Il s’intitule « Le livre et la bibliothèque activant la mémoire et la créativité ». C’était avec la participation d’un groupe de professeurs et de chercheurs dans le domaine. Par ailleurs, la ministre de la Culture et des Arts a supervisé le lancement de la distribution de plus de 168.000 livres aux dix nouvelles wilayas d’Algérie.
C’est dans le cadre de l’accompagnement des projets de développement et des structures culturelles au niveau de ces wilayas. Cette démarche s’inscrit alors dans le but de renforcer l’équilibre documentaire de leurs bibliothèques. Le président de la République accorde une grande importance à cette action, dit la responsable. Celle-ci parle de répondre aux exigences du développement social et économique du pays.
Soraya Mouloudji : l’importance du livre dans la société
La ministre a déclaré que cette journée est l’occasion de mettre l’accent sur le rôle de la bibliothèque dans la société. Notamment, consacrer la position du livre dans le raffinement de la connaissance ; et de la culture des générations montantes. Cette journée est célébrée sur l’ensemble du territoire national. Puis, la ministre a visité une exposition documentaire. On l’a organisée à cette occasion.
C’était en coopération avec la Bibliothèque centrale de l’Université d’Alger 1. Le public pouvait découvrir des échantillons précieux. Il s’agit de parties rescapées de livres qui ont été brûlés à la Bibliothèque centrale universitaire. Ainsi, on trouve des bandes documentaires. Des articles extraits de sources étrangères ; et des journaux nationaux qui ont traité de cet évènement à l’époque.
