Culture – Après avoir conquis les cœurs à l’international, « La dernière reine », pépite du cinéma algérien, s’élance vers un nouvel horizon : la conquête des César 2024. Une aventure qui pourrait bien ajouter un éclat supplémentaire à son palmarès déjà impressionnant.
Le cinéma algérien est sur le point de franchir une étape historique avec « La dernière reine », un film qui s’annonce comme un sérieux prétendant aux César 2024. Cette œuvre, réalisée par Damien Ounouri et Adila Bendimerad, s’inscrit dans la catégorie convoitée du meilleur film étranger. Démontrant ainsi la richesse et la diversité du cinéma algérien.
Prévue pour le 23 février 2024, la 49ème cérémonie des Césars se tiendra dans la salle emblématique de l’Olympia à Paris. Cet événement est alors l’occasion pour les talents émergents de se révéler et pour les films de s’illustrer devant un public de renom.
« La dernière reine » nous plonge dans l’Alger des années 1516, offrant un regard intime sur l’ascension d’une guerrière. La transformation de la princesse Zaphira, de veuve éplorée à reine combattante, est un récit captivant de force mentale et physique. Ce film n’est pas seulement une exploration historique, mais aussi une célébration de la résilience féminine.
Vers les César : un parcours prometteur
La course aux nominations pour les César 2024 s’annonce palpitante pour « La dernière reine ». Avec le début des votes prévu pour le 2 janvier 2024, l’attente s’intensifie jusqu’à l’annonce des nominations officielles le 24 janvier. Ce moment dévoilera en effet les finalistes dans toutes les catégories, dont celle du meilleur film et de la meilleure réalisation.
La cérémonie des César, au-delà de sa reconnaissance artistique, est également un moment clé pour l’industrie cinématographique. Avec 25 Césars à remettre, dont 14 par vote, la soirée promet d’être riche en émotions. Le César des Lycéens, créé en 2019, sera également décerné, soulignant l’importance de la jeunesse dans le paysage cinématographique.
