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lundi, 4 novembre 2024
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Algérie : le wali d’Oran répond cash à la polémique sur le zellige au Maroc

Publié le

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Algérie – La polémique entourant le zellige au Maroc n’en finit décidément pas, et c’est au tour du wali d’Oran de s’exprimer sur la question. Découvrez ses propos dans la suite de cet article du 10 octobre 2022.

En Algérie, le wali d’Oran a tenu à répondre à la polémique entourant le zellige au Maroc. Il a indiqué que ce zellige appartient au patrimoine algérien. Et que l’Algérie ne laissera pas de côté son patrimoine. Et tout comme ces symboles sont la propriété de l’Algérie, il lui appartient également de les mettre où bon lui semble. 

Par ailleurs, le wali a ajouté que des tiers n’ont aucun droit de s’immiscer dans ce que font les Algériens de leur propre patrimoine. Il a ironisé en indiquant que ces symboles étaient apposés depuis longtemps en Algérie sous différentes formes. Mais qu’il a fallu qu’ils soient imprimés sur les maillots des joueurs de l’équipe nationale, pour que les Marocains s’en approprient l’appartenance.

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Sayoud a insisté sur le fait que les Algériens ont le droit de poser ces symboles où il leur plaira. Il a ajouté que les étrangers doivent respecter notre patrimoine tout comme nous respectons le leur. Pour rappel, depuis que les joueurs de l’équipe nationale ont revêtu un maillot portant un nouveau design, les Marocains ont directement accusé l’Algérie de s’être approprié leur patrimoine, rapporte El Bilad sur sa page Facebook.

Polémique autour du zellige : la wali d’Oran s’en mêle

En effet, les internautes marocains se sont directement approprié ces motifs. Ils n’ont pas hésité à déclarer haut et fort sur les réseaux sociaux que l’Algérie leur a volé leur patrimoine. Ils sont même persuadés que le symbole de l’étoile leur appartient. Ce à quoi les supporters algériens de leur côté, ont répondu. Et ce, avec preuve à l’appui, montrant les motifs du palais Mechouar.

De nombreux responsables et célébrités se sont par la suite exprimés sur la question. À l’instar du journaliste espagnol Tomàs Bàrbulo. Ce dernier n’a pas mâché ses mots envers le peuple du pays voisin. Il les a taclé en leur indiquant qu’après s’être approprié le Sahara occidental, Sebta et Melilla, les îles de Canaris ils veulent maintenant le Zellige.

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