Argent – Le nombre total de retraits automatiques de fonds en Algérie a atteint près de 86 millions et demi l’année dernière, soit 2021. On vous fournit toute l’information dans la suite de notre article de ce lundi 17 janvier 2022.
Le quotidien arabophone Ennahar a rapporté, dans son numéro d’hier, les informations du site Internet Asharq Business. La source médiatique a ainsi divulgué le nombre des retraits d’argent par voie électronique qui ont eu lieu en Algérie durant l’année 2021. Il est question de 86,4 millions de transactions de retrait à travers divers mécanismes et services.
Selon le site, l’ensemble des opérations ont été réalisées via 3.035 distributeurs automatiques de billets. D’autant plus, le site a apporté plus de précisions concernant la répartition des transactions. Il s’agit de 39.000 paiements électroniques et 10,89 millions de cartes électroniques. S’ajoutent à cela 8,08 millions de paiements via les appareils et 2,31 par Internet.
Les autorités algériennes visent l’amélioration du E-paiement et l’encouragent
Le Premier ministre, ministre des Finances, Aimen Benabderrahmane, a mis l’accent sur l’importance qu’accorde l’Algérie quant au développement du paiement en ligne. A cet égard, le responsable a révélé que l’État algérien se tient derrière les transactions d’argent qui s’effectuent par le biais électronique. Ainsi que le déploiement d’efforts considérables en vue de sécuriser, mais aussi de moderniser les transactions entre les différents acteurs du cycle de l’activité économique, rapporte Ennahar.
Par ailleurs, le ministre en charge s’est exprimé en marge de la cérémonie de signature de l’accord de lancement du paiement électronique via Internet. Aimen Benabderrahmane a révélé que l’État algérien vise à accélérer le rythme de la transformation numérique. Mais aussi, fournir les moyens nécessaires pour faciliter les transactions électroniques. C’est dans le but d’aboutir à un usage optimal de ce tributaire de croissance et développement économique.
En outre, le ministre des Finances, Benabderrahmane, a fait savoir que la réussite. Celle de l’amélioration des échanges électroniques en Algérie est basée sur un nombre de conditions. Entre autres, l’adhésion et la contribution de l’ensemble des acteurs intervenants s’avèrent indispensables.
Pour conclure, le ministre a souligné que l’avenir de ce secteur dépend de la capacité à garantir une utilisation généralisée. Celle des moyens de paiement par voie électronique pour les différentes transactions au niveau national. À l’image de la convention signée entre la Poste d’Algérie, SATIM et GIE Monétique. D’après la même source toujours.
