France – L’ancienne députée Marion Maréchal Le Pen a tenu à pointer du doigt le fait qu’un tiers des réfugiés de la guerre d’Ukraine sont, en fait, d’autres nationalités, notamment Algériens ou Marocains.
En effet, alors qu’elle était invitée dans la Matinale de CNews, la femme politique française, Marion Maréchal Le Pen, s’est exprimée au sujet des réfugiés fuyant la guerre de l’Ukraine, tout en indiquant qu’il fallait répondre aux besoins des Ukrainiens, elle a tout de même révélé qu’un tiers de ces réfugiés, notamment ceux venus en France, sont plutôt des Algériens et des Marocains.
Dans le détail, connue pour son soutien à Éric Zemmour lors de sa campagne présidentielle, Maréchal s’est montrée comme préoccupée par ce phénomène. Sachant qu’en s’appuyant sur un article publié par Le Figaro, elle a indiqué que depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, la France a pu accueillir 5.000 réfugiés. Cela dit, 30 % de ces personnes seraient de nationalité algérienne ou marocaine.
Ensuite, elle a même ajouté qu’ils ont « profité de l’ouverture et du couloir aujourd’hui mis en place de l’Ukraine vers l’espace Schengen pour s’insérer dans le dispositif ». De ce fait, elle a estimé que c’est une affaire qu’il faudrait prendre au sérieux. D’autant plus que, selon elle, il ne faut surtout pas faire de cette détresse des Ukrainiens, qui est elle réelle, un enjeu pour le pays. En particulier, à l’approche des élections.
France : « répondre aux besoins des Ukrainiens » serait l’urgence selon Maréchal
En outre, lors de cette même entrevue, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen et nièce de Marine Le Pen s’est exprimée davantage sur le sujet. Il faut savoir que Marion Maréchal a officiellement tourné le dos à sa tante et s’est affichée aux côtés de Zemmour lors de sa campagne électorale.
De ce fait, elle soutient également ses propos et ses déclarations. Notamment celles qu’il a pu prononcer au sujet des réfugiés ukrainiens. Maréchal a alors estimé que le plus important serait de « répondre aux besoins des Ukrainiens ».
En particulier, ceux qui souhaitent rester dans des pays limitrophes. Il faut que les autorités puissent leur apporter du soutien logistique, financier sanitaire et humanitaire. C’est du moins ce qu’a précisé la femme politique.
Par la suite, si des réfugiés souhaitent, quand même, venir en France pour une raison ou une autre, l’ancienne députée a repris les paroles d’Éric Zemmour en estimant qu’il « n’y avait pas de difficultés à ça ».