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Expulsion des sans-papiers algériens de France : ce qu’a dit Lamamra

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Algérie – Apprenez aujourd’hui, 06 février 2022, ce que le ministre algérien des Affaires étrangères, Lamamra, a apporté comme précisions sur l’expulsion des sans-papiers algériens de France.

Tenant de trouver une solution aux sans-papiers algériens de France, Lamamra a soumis ses conditions quant à ladite expulsion. Depuis que l’Algérie a refusé d’accueillir les immigrés en situation irrégulière, le gouvernement français a répondu le 28 septembre dernier en accordant 50 % de visas aux citoyens algériens.

Dans un contexte de retour au calme entre les deux pays après plusieurs tensions, l’Algérie semble vouloir revoir la question. C’est-à-dire reprendre ce dossier en main pour réduire les refus annoncés par la France. C’est en tout cas ce qu’a expliqué Ramtane Lamamra, hier, dans l’entretien qu’il a accordé aux deux chaînes françaises, France 24 et RFI, sur la relation bilatérale.

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Par conséquent, le chef de la diplomatie algérienne répond à l’égard des interrogations sur un éventuel consensus pour les sans-papiers algériens. En allant droit but, Lamamra a mis l’accent sur l’application de la loi. Tout en insistant sur le principe de respect de la dignité de la personne humaine.

Expulsion des sans-papiers algériens : Lamamra impose ses conditions

Selon le responsable du département ministériel du Gouvernement algérien chargé de mettre en œuvre la politique extérieure, l’Algérie n’a jamais refusé de recevoir ses ressortissants. À savoir, ceux qui n’ont rien à faire en France. Néanmoins, afin que l’expatriation soit acceptée, les autorités françaises doivent se conformer aux accords algéro-français. Et ce de manière « convenable ».

Dans l’optique d’opérer une expulsion selon la loi, Ramtane Lamamra réitère les conditions de l’Algérie. Dans ce sens, le haut fonctionnaire de l’Union africaine et des Nations Unies exige un rapatriement sans avion charter. De plus, il insiste sur la possibilité de bénéficier d’un recours avant d’arriver aux frontières. Notamment, face à l’abus exercé sur cette procédure administrative pour faire monter les chiffres, révèle-t-il.

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