Algérie – Les artistes du monde entier, y compris les Algériens suivent la tendance et se lancent dans les NFT, comme en témoignent l’explosion des transactions sur Blockchain. Dzair Daily vous en apprend plus dans la suite de cet article du 2 juin 2022.
Les NFT, concept émis par Blockchain sont la tendance en ce moment dans le monde entier, et les artistes algériens viennent de s’y mettre. En effet, à l’occasion de la célébration du 60ème anniversaire de l’indépendance, la figuration contemporaine d’Algérie va organiser une exposition en ligne, suivie d’une vente aux enchères d’œuvres figuratives sous forme de NFT. Il s’agit de ce que rapporte le site spécialisé Art Critique.
Il faut savoir que les NFT sont la tendance artistique du moment. Les ventes des œuvres numériques explosent dans le monde entier. C’est dans ce sillage que le groupe d’artistes algériens va organiser cette exposition du 18 au 25 juin prochains, abritée par la maison Boischaut. Une quinzaine de peintres seront à l’honneur, représentant des scènes artistiques algériennes, allant des années 70 à nos jours.
Les artistes algériens à l’ère du FNT
Parmi les auteurs de ces œuvres artistiques, on note Layachi Hamidouche, Moussa Bourdine, Brahim Achir et l’incontournable Hocine Ziani. Ce dernier a d’ailleurs lui-même eu l’idée de cette exposition. Il a donc proposé à ses collègues de faire partie de cette aventure numérique inédite. C’est ainsi que seront mise en ligne 70 œuvres, dont une quinzaine de Ziani Hocine. Elles seront présentées sous forme de photographies en haute définition assorties d’un certificat NFT unique.
Par ailleurs, cette exposition numérique ne sera pas la seule à mettre à l’honneur la scène artistique algérienne. Une exposition est en effet en place à l’Institut du Monde Arabe et se terminera le 31 juillet prochain. Cet événement est intitulé Algérie mon Amour. Un autre événement artistique est proposé par le Mucem jusqu’au 22 août. Mettant cette fois-ci à l’honneur Abd El-Kader. Hocine Ziani a d’ailleurs signé une des toiles de l’exposition, un tableau intitulé Abd El-Kader Méditant.
