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vendredi, 26 avril 2024
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Algérie : l’ancien directeur général de la modernisation de la justice traîné devant les tribunaux

Publié le

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Justice – L’affaire de l’ancien directeur général de la modernisation de la justice, Abdelhakim Akka a connu des nouveaux rebondissements en Algérie. Dzair Daily relate pour vous tous les détails, dans la suite de son édition du samedi 18 juin 2022.

Du nouveau sur l’affaire de l’ancien directeur général de la modernisation de la justice en Algérie ! En effet, après s’être condamné par la cinquième chambre pénale de la Cour d’Alger pour « faux et usage de faux », le dossier d’Abdelhakim Akka a connu de nouveaux rebondissements. Il s’agit de ce que rapporte le quotidien arabophone, Ennahar.

Effectivement, l’ancien DG de la modernisation de la justice a écopé d’une peine de trois (3) de prison ferme. Assortie d’une amende de 100.000 DZD, en novembre 2021. Sous l’inculpation d’abus de fonction en vue de bénéficier d’indus privilèges. En plus de l’utilisation d’un faux diplôme universitaire lors de sa carrière professionnelle.

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D’autant plus qu’Abdelhakim Akka s’est retrouvé impliqué dans une nouvelle affaire suspecte. En effet, l’ancien cadre haut placé au niveau du Ministère de la Justice a été accusé pour des délits commis durant la période où il a été à la tête de sa fonction. L’affaire est liée aux bracelets électroniques mis en place par la justice.

Algérie : le dossier d’Abdelhakim Akka devant les tribunaux

En effet, le Pôle pénal spécialisé dans les affaires de corruption financières et économiques près du tribunal de Sidi M’hamed a donné de nouvelles. Celles-ci sont relatives au dossier de l’ancien directeur général de la modernisation de la justice. Ainsi, la même chambre pénale a programmé le dossier d’Abdelhakim Akka pour le jugement. Cela pour le 23 juin prochain.

Il convient de rappeler que le Ministère de la Justice a fait recours aux bracelets électroniques. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’adoption d’une alternative à l’emprisonnement de certains prévenus. Toutefois, le projet de surveillance à distance a dû être suspendu. Et ce, en raison de problèmes techniques qui empêchaient leur utilisation.

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À cet effet, on a ouvert une enquête suite aux nombreuses plaintes de 80 juges. Cela, après s’être aperçu que les bracelets électroniques ne fonctionnaient pas. Impliquant ainsi l’ancien ministre de la Justice Tayeb Louh et l’ancien directeur général de la modernisation de la Justice, Abdelhakim Akka. Mais aussi l’ancien l’inspecteur général du Ministère de la Justice, Benhachem Tayeb.

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