14.9 C
Alger
14.9 C
Alger
samedi, 27 avril 2024
- Publicité -
AccueilÉconomiePouvoir d’achat en Algérie : ce que prévoit la loi de finance...

Pouvoir d’achat en Algérie : ce que prévoit la loi de finance complémentaire 2022

Publié le

- Publicité -

Algérie – La loi de finance complémentaire pour l’année 2022 a introduit une série de mesures législatives et fiscales visant la préservation du pouvoir d’achat du citoyen. Retrouvez plus de détails à ce sujet dans la suite de ce numéro du 5 août 2022. 

En effet, le gouvernement prévoit dans son projet de loi de finance complémentaire pour l’année 2022 plusieurs mesures qui visent à préserver le pouvoir d’achat en Algérie. Il s’agit de l’ordonnance numéro 22-01, signée, hier mercredi, par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Ce texte est apparu dans le 53ᵉ numéro du journal officiel.    

Sur le plan budgétaire, le texte prévoit une hausse des dépenses de fonctionnement. Ils passeront du 6311,53 milliards de dinars, prévus dans la loi de finance initiale (LF 2022), à 7697,01 milliards. Il prévoit également une augmentation des dépenses d’équipement à 3913,17 milliards de dinars, contre 3546,90 milliards dans la LF initiale. Il s’agit de ce que rapporte le quotidien arabophone Echorouk

- Publicité -

Dans ce cadre, le plafond d’autorisation de programme a été, lui aussi, augmenté à 3079,47 milliards de dinars. Cela dans le but de couvrir le coût des programmes susceptibles d’être inscrits au cours de l’année en cours. À noter que la loi de finance initiale a prévu 2448,90 milliards dans ce sens. 

Pouvoir d’achat en Algérie : zoom sur les changements effectués

Par ailleurs, la loi de finance complémentaire table aussi sur une hausse des recettes globales. Celles-ci passeront donc de 5683,22 milliards de dinars à 7000, 84 milliards. Cela grâce à la fiscalité pétrolière qui devrait passer 3211,92 milliards, contre 2103,90 milliards prévus dans la LF 2022. 

En outre, le nouveau texte a introduit une série de mesures visant la préservation du pouvoir d’achat des Algériens. Il s’agit notamment de l’exonération des droits de douanes et de taxe sur la valeur ajoutée pour le sucre brut. Et ce, lorsque son assujettissement entraîne un dépassement des prix plafonds fixés par voie réglementaire. 

- Publicité -

Le sucre blanc produit localement est également exempté de la taxe sur la valeur ajoutée, aux différentes étapes de sa distribution. Selon la loi de finance complémentaire, toute agriculture pratiquant la céréaliculture bénéficiant de l’aide de l’État doit céder sa production de blé et orges à l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC).

- Publicité -

Derniers articles

- Publicité -

Nos lecteurs ont lu aussi

- Publicité -

A découvrir

- Publicité -
- Publicité -