France – L’ex-députée frontiste française et actuel soutien de Zemmour à la présidentielle, Marion Maréchal Le Pen, a soutenu que des « terroristes algériens et marocains » peuvent très bien se dissimuler parmi les réfugiés ukrainiens. Nous vous dévoilerons davantage de détails dans cette édition du lundi 21 mars 2022.
La guerre en Ukraine n’est pas directement liée aux affaires nord-africaines. Néanmoins, certains politiciens les évoque facilement quand il s’agit de discuter des conséquences de ce conflit. En effet, c’est le cas de la femme politique française, Marion Maréchal Le Pen, qui s’est exprimée sur la question des réfugiés ukrainiens, tout en mettant en garde, selon Le Figaro, contre des « terroristes algériens ainsi que marocains ».
Dans le détail, la nièce de Marine Le Pen, a tenu à exprimer son soutien aux réfugiés ukrainiens. Ainsi, elle a indiqué qu’il faut répondre aux besoins des Ukrainiens fuyant la guerre et de les accueillir en France. Cependant, Marion Maréchal a pointé du doigt un problème préoccupant à ses yeux.
Désormais ralliée à Éric Zemmour, au détriment de sa tante, la politicienne a adopté la même stratégie que lui. Celle de rejeter le « flux migratoire extra-européen » en France. Elle a ainsi indiqué que parmi les réfugiés ukrainiens arrivés en France se cachent des Algériens, des Marocains et des Syriens. Soulignant par ailleurs que cela pourrait contituer une voie d’infiltration de « terroristes » dans son pays.
Marion Maréchal Le Pen appelle au « tri » des réfugiés ukrainiens
Par la même occasion, et par souci de précaution, peut-on saisir de ses propos, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen a suggéré une mesure de limitation du risque qu’elle estime réel. Le but, d’après elle, est de permettre qu’aux réfugiés ukrainiens de franchir le sol français sans faire courir des risques à la France. De ce fait, l’ancienne parlementaire française, Marion Maréchal Le Pen, a appelé au « tri » des réfugiés venus d’Ukraine.
Par ailleurs, la politicienne a maintenu sa position quant à l’accueil de ces civiles ukrainiens fuyant la guerre. L’ex-députée du Front national n’oublie, par contre, pas d’insister sur ses préoccupations. Elle est d’ailleurs allée jusqu’à affirmer qu’« un tiers des soi-disant réfugiés ukrainiens qui arrivent en France ne sont pas vraiment des Ukrainiens ».
