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vendredi, 26 avril 2024
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Rapatriement : Le cas des Algériens décédés à l’étranger atterrit à l’APN

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Algérie – Diaspora des Algériens résidant à l’étranger (Dare), organisation associative, dénonce des pratiques de discrimination en matière de rapatriement de nos ressortissants décédés à l’extérieur du pays, et vu l’absence du président de la République, l’association interpelle le parlement.

La Dare, à savoir l’Association de la diaspora des Algériens résidant à l’étranger, fait état de discrimination dans les opérations de rapatriement de nos citoyens décédés dans leurs pays d’accueil, auprès du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), chambre basse du parlement. Ainsi qu’auprès de celui à la tête du Conseil de la Nation, chambre haute. C’est le quotidien national Liberté qui rapporte les propos de l’association en question.

Cela dans son édition de ce samedi 14 novembre. La discrimination concerne, selon la Dare qui s’est prononcée mercredi dernier, la prise en charge des coûts. Il s’agit donc des frais de rapatriement des dépouilles des Algériens de l’étranger. D’après l’association citée par l’organe de la presse écrite, le consulat d’Algérie à Lyon met en avant une certaine exigence.

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Les arguments juridiques de la Diaspora des Algériens résidant à l’étranger

Celle-ci indique que le ressortissant décédé devait être « résident régulier avec une carte consulaire en cours de validité ». De plus, il devait « être dans la précarité ». Toutefois, conteste la même source, la loi stipule qu’« il est ouvert, dans les écritures du Trésor, un compte d’affectation spéciale ». Ce compte porte le « n°302-144 ». Il s’intitule « Fonds de solidarité pour les ressortissants algériens décédés à l’étranger ».

La Dare proteste contre « les modifications et leurs interprétations ». Celles-ci font, selon l’organisation, que ce procédé devient discriminatoire. Ainsi, l’organisation de la société civile se demande : « Que fait-on pour celles et ceux qui meurent de Covid-19 ou d’autre chose chaque jour dans le monde ? ». Par conséquent, « en l’absence du chef de l’État, nous nous adressons aux présidents des deux chambres parlementaires ». Cela « afin qu’ils rétablissent ce qu’il a été acquis démocratiquement », conclut-on à la fin.

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