Étudiant – Dans une initiative visant à simplifier et moderniser le processus d’inscription universitaire, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en Algérie annonce le déploiement d’un nouveau service en ligne pour les inscriptions et réinscriptions au doctorat pour l’année académique 2023-2024.
En cette ère numérique, l’accès à l’éducation et la gestion des parcours académiques sont de plus en plus dominés par des solutions informatiques avancées. Faisant écho à cette tendance, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en Algérie a franchi un pas significatif en direction de la digitalisation avec l’introduction d’un service en ligne pour faciliter les inscriptions et réinscriptions au doctorat pour l’année 2024, annoncé ce lundi.
La nouvelle plateforme, intégrée au système d’information Progrès, est désormais opérationnelle pour la catégorie très attendue des doctorants. Marquant un tournant dans la gestion des procédures administratives éducatives. Ce changement est à la fois une réponse à la demande croissante pour des processus d’inscription simplifiés et une preuve de l’engagement du ministère envers l’amélioration continue de l’expérience éducative.
Selon le ministère, plus de 52 000 comptes ont été créés et activés sur le système Progrés. Les étudiants sont désormais en mesure de gérer leur inscription à distance, évitant ainsi les files d’attente et les délais administratifs qui ont longtemps caractérisé ce processus.
Pour s’inscrire, les doctorants doivent suivre des étapes spécifiques via la plateforme pédagogique Webfve. Cela en sélectionnant l’option correspondante à la réinscription en doctorat. L’accès à leurs comptes est sécurisé par des identifiants uniques, combinant l’année du baccalauréat et le numéro de baccalauréat pour le nom d’utilisateur, et la date de naissance pour le mot de passe.
Modernisation des inscriptions universitaires au doctorat : lancement du service en ligne en Algérie
Cette initiative n’est pas seulement une avancée administrative ; elle représente un pas vers une plus grande équité et accessibilité dans l’éducation supérieure. Avec cette innovation, les étudiants peuvent désormais se concentrer davantage sur leurs recherches et leurs études plutôt que sur la navigation dans la complexité bureaucratique.
Le ministère a également pris des mesures pour les étudiants qui n’ont pas encore été inclus dans les comptes activés. Les institutions universitaires ont la capacité d’imprimer les comptes. Cela en utilisant une fonction spécifique dédiée, assurant que personne ne reste à l’écart du processus.
L’adoption de telles technologies dans l’administration de l’enseignement supérieur souligne l’importance de l’innovation dans le secteur éducatif. Il reste à voir comment cette initiative sera adoptée par la communauté universitaire et quel impact elle aura sur le paysage éducatif dans son ensemble.
