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La France perd le marché algérien du blé « malgré sa compétitivité »

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Algérie – Le marché algérien du blé glisse des mains de la France. Désormais, notre pays se tourne vers d’autres fournisseurs. On vous expose tous les éléments de cette information, 19 décembre 2021.

Ayant longuement bénéficié de la place d’important exportateur vers notre pays, la France ne s’impose plus au marché algérien du blé. En effet, l’Algérie a acheté cette semaine entre 690.000 et 700.000 tonnes de blé meunier. C’est en s’approvisionnant de plusieurs pays exportateurs.

Après avoir lancé un appel d’offres, l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) n’a pas reçu de proposition de la France pour alimenter le marché algérien de blé. De ce fait, l’Algérie a importé le blé d’Allemagne, de la Mer Baltique et de la Mer Noire. On mentionne également un éventuel achat de l’Argentine. Terre-net rapporte l’information.

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Par conséquent, la quantité de blé qui entrera le marché algérien hors exportation venue de France sera expédiée en trois périodes. Ce sera entre le 16 janvier et le 28 février 2022. Quant à la facture, elle s’élève entre 372 dollars et 376 dollars la tonne. En incluant le coût et les frais de transport de la marchandise. C’est-à-dire environ 10 dollars de moins. Cela, par rapport au mois dernier.

marché du blé algérien : bras de fer entre la France et d’autres exportateurs

Après les récentes modifications apportées au cahier de charges d’importations de céréales, l’Algérie se défait progressivement de la France pour alimenter son marché de blé. D’ailleurs, en raison de l’allégement du pourcentage du blé porteur d’insectes autorisé, l’Algérie permet au blé russe d’enregistrer un nouveau record de ventes. Au total, 800.000 tonnes au début de ce mois décembre.

Dans ce sens, on rappelle que ledit ajustement du cahier de charges a permis à notre pays d’avoir plus d’offres de nouveaux fournisseurs. Cela, avec l’annonce d’un plus large choix de blé acceptés par l’OAIC. Par la suite, le blé importé de France s’est automatiquement exclu de la liste, bien que celui-ci bénéficiait d’une part de 56 % au marché national. Alors qu’on a rapporté au mois de novembre dernier un taux estimé à 24 %.

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