France – Un jeune chercheur algérien vient d’être récompensé pour ses travaux de recherches sur l’épilepsie de l’enfant. Suivez avec nous les détails à ce sujet, dans cette édition du 22 septembre 2021.
Encore un autre savant algérien ayant brillé hors de son pays. Il s’agit du jeune chercheur algérien Badreddine Boussadi qui a été récompensé par une prestigieuse fondation française pour ses accomplissements en recherches réalisés sur l’épilepsie de l’enfant et ou de l’adolescent. Dzair Daily s’est chargé de vous relater tous les détails, ce mercredi 22 septembre 2021.
En effet, à l’étranger loin de leur pays natal, les chercheurs algériens continuent de s’imposer. C’est en inscrivant leurs empreintes sur les recherches qu’ils entreprennent. C’est le cas du chercheur algérien, Badreddine Boussadi. Chercheur à l’Institut de Génomique Fonctionnelle (IGF) de Montpellier. Il reçoit le prix Valérie Chamaillard 2015 de la fondation française pour la recherche sur l’épilepsie (FFRE).
C’est en tout cas, selon ce que rapporte L’Expression Dz dans son édition d’aujourd’hui 22 septembre 2021. Dans le détail, il s’agit d’un prix financé par la Fondation Chamaillard sous l’égide de la fondation de France. Ce prix représente la récompense des travaux réalisés par le jeune algérien. C’est autour de l’épilepsie de l’enfant et de l’adolescent.
Le parcours du jeune chercheur algérien
Effectivement, Badreddine Boussadi a bien eu le mérite de recevoir le prix en guise de triomphe pour ses investigations récentes et particulièrement remarquables. 30.000 euros lui seront remis. C’est afin de financer son projet portant sur l’implication des récepteurs nucléaires CAR et PXR. Ainsi que dans la régulation des enzymes métaboliques P450. Et dans le maintien de l’intégrité cérébro-vasculaire.
Par ailleurs, concernant son parcours, le chercheur en question est né à Ziama Mansouriah, commune côtière de la wilaya de Jijel en Algérie. Il a ensuite vécu à Alger et a étudié la biotechnologie entre 2006 et 2009 à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène (USTHB) de Bab Ezzouar. Avant de poursuivre ses études à l’université de Montpellier en France. Cette distinction vient marquer son progrès et sa carrière déjà honorable.