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vendredi, 26 avril 2024
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Covid-19 : L’Algérie traverse une deuxième vague ? Senhadji répond

Publié le

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Algérie – Le professeur Kamel Sanhadji, président de l’Agence Nationale de sécurité sanitaire, estime que cette récente hausse des cas contaminés par le Covid-19 en Algérie, n’a rien à avoir avec la deuxième vague.

En effet, le professeur Kamel Sanhadji, a qualifié la situation de hausse de cas contaminés par la Covid-19 que traverse l’Algérie ces derniers jours, de totalement admissible. De plus, il estime que ça ne signifie en aucun cas l’enregistrement d’une deuxième vague, selon notre source le site Algérie 360.

Car scientifiquement parlant, le professeur déclare que dans le cas d’une deuxième vague, le virus doit changer, faire des mutations génétiques, évoluer et changer ses caractéristiques, ce qui n’est pas le cas en ce moment en Algérie, toujours selon notre source.

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De plus, le professeur Kamel Sanhadji estime que le plan d’urgence mis en place par le gouvernement est approprié pour lutter contre le Coronavirus, le qualifiant de méthodique et positif. Notamment, il ajoute que ce dit plan est venu en aide aux citoyens afin de bien mener leur vie quotidienne.

Selon le professeur, cette recrudescence dans le nombre de cas est due à quoi ?

Cependant, le président de l’agence nationale de sécurité sanitaire estime que cette récente recrudescence des cas atteints par le Covid-19, après une certaine stabilisation enregistrée en septembre dernier, est sans doute due à un laisser aller de la part des citoyens. Car, selon le professeur, depuis la rentrée sociale, les citoyens deviennent de plus en plus en contact les uns avec les autres et ne respectent pas forcément les gestes barrières, toujours selon notre source.

Dans ce sens, le professeur estime que l’augmentation dans le nombre de cas contaminés par le coronavirus en Algérie est la responsabilité de chacun, et que chaque personne peut faire la différence. De ce point de vue, il appelle le gouvernement à réduire l’amende en cas de non-port de la bavette de 10.000 da à 3.000 da, chose qui, selon lui, garantira le paiement de cette dernière. 

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