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vendredi, 26 avril 2024
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AccueilÉconomie« Autoriser le privé algérien à emprunter de l’étranger » suggère Agli

« Autoriser le privé algérien à emprunter de l’étranger » suggère Agli

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Algérie – Le président de la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC), Sami Agli, estime qu’il serait temps d’autoriser les sociétés du secteur privé algérien à faire des emprunts à l’étranger.

En effet, le premier responsable du CAPC, Sami Agli en l’occurrence, a appelé le Gouvernement algérien à donner aux sociétés d’ordre privé en Algérie la possibilité de faire des prêts à l’étranger. Cela, dans le but de varier les sources de financement et ne pas s’appuyer uniquement sur l’argent du trésor public et les crédits bancaires.

Dans le détail, lors d’une déclaration faite à Echorouk, l’homme d’affaires s’est expliqué davantage. Il a précisé que les crédits auprès du Fond monétaire international (FMI) et le recours à la planche à billets demeurent les solutions à ne pas entreprendre pour relancer l’économie nationale. En contrepartie, il a proposé d’ouvrir le champ au privé algérien pour faire des emprunts à l’étranger sans recourir à l’Etat pour une garantie.

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D’autant plus, que Agli a indiqué qu’il serait temps pour le Gouvernement de se pencher vers d’autres sources de financement. Ainsi, de ne pas compter uniquement sur les banques et les fonds publics. Il a notamment révélé que si l’Etat autorise les sociétés privées à demander des crédits dans d’autres pays, le trésor public ne sera nullement impacté. Cela, car c’est seulement l’opérateur qui s’engage dans cet emprunt.

Le Gouvernement algérien devrait encourager les crédits de l’extérieur, estime Agli

En effet, à ce sujet, le président de la CAPC a mentionné que la loi algérienne autorise cette démarche, mais avec de nombreuses contraintes. De ce fait, il a déclaré qu’il serait temps de consacrer plus d’importance à ce type d’emprunts, en encourageant la procédure. Mais aussi, en mettant en place de nombreux types de financement. Cela, dans le but de donner un coup de pouce aux projets gelés.

Toutefois, en donnant plus de détails sur les démarches, le même locuteur a révélé qu’il existe deux types de crédits de l’étranger. Le premier serait que le gouvernement ait recours au FMI pour financer les projets. Tandis que le deuxième serait de permettre au privé algérien de faire un emprunt pour conclure les projets et relancer l’économie nationale.

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En outre, Agli a ajouté que la crise économique continue de s’abattre sur de nombreux pays dans le monde. De ce fait, il demeure indispensable de s’adapter et saisir les occasions pour mettre en place quelques changements. Surtout que le financement privé n’aura aucun impact négatif sur la banque centrale et le trésor public.

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