11.9 C
Alger
11.9 C
Alger
samedi, 27 avril 2024
- Publicité -
AccueilÉconomieAutomobile« L’Industrie automobile aurait permis à l’Algérie d’acheter Volvo », affirme Agli

« L’Industrie automobile aurait permis à l’Algérie d’acheter Volvo », affirme Agli

Publié le

- Publicité -

Algérie – Le président du CAPC, Sami Agli, a déclaré que l’argent dépensé sur l’industrie automobile aurait pu permettre à l’Algérie d’acheter une marque automobile étrangère comme Volvo qui vient de changer de propriétaire. Découvrez plus dans cet article.

Le président de la Confédération algérienne du patronat citoyen a été l’invité de la Radio nationale Chaîne 1 ce mercredi. Il est intervenu dans une émission matinale. Dans celle-ci, Sami Agli a assuré que les milliards déboursés dans le passé en Algérie sur l’industrie automobile qui n’a pas marché auraient pu servir à s’approprier la marque Volvo.

L’homme d’affaires déclare donc sur les ondes de la station radio que les 3,2 milliards de dollars investis par l’État dans la construction automobile n’est pas une bonne décision. Et selon lui, c’est de l’argent gaspillé. 

- Publicité -

Selon la même source, le Président de CAPC explique qu’avec l’argent investi dans la construction automobile, l’Algérie aurait pu acquérir une des grandes marques automobiles, à savoir, celle suédoise appelée Volvo. Celle-ci a récemment été vendue. C’était contre une somme beaucoup moins inférieure que les 3,2 milliards de dollars.

Sami Agli : « L’endettement est une ligne rouge »

Dans la même émission, Agli cite la déclaration du Président de la République dans laquelle celui-ci évoque l’endettement. Selon Tebboune, rappelle le chef de file du syndicat patronal, emprunter de l’argent de l’extérieur pour relancer l’économie et l’industrie nationale est une ligne rouge. Et c’est un point sur lequel s’accordent tous les opérateurs. 

Concernant le même sujet, Sami Agli dit qu’avoir recours a l’endettement nous rappelle le fantôme de la décennie noire. Pour éviter cela, il insiste sur le financement interne. C’est-à-dire en injectent l’argent qui circule sur le marché noir dans les banques. Au passage, il appuie sur la nécessité de crier des banques privées. 

- Publicité -

Cette crise économique est trop profonde, selon l’orateur. Et en sortir nécessite d’agir tous ensemble. De façon solidaire, note-t-il. En plus, il faut intervenir à tous les niveaux. C’est ainsi que conclut Sami Agli via la même tribune. 

- Publicité -

Derniers articles

- Publicité -

Nos lecteurs ont lu aussi

- Publicité -

A découvrir

- Publicité -
- Publicité -