12.9 C
Alger
12.9 C
Alger
vendredi, 26 avril 2024
- Publicité -
AccueilÉconomieAutomobileImportation de voitures en Algérie : du nouveau sur l’étude des dossiers

Importation de voitures en Algérie : du nouveau sur l’étude des dossiers

Publié le

- Publicité -

Automobile – Une semaine avant l’expiration du délai fixé par le Président de la République concernant l’importation de voitures en Algérie, de nouveau vient de tomber quant à l’étude des dossiers des concessionnaires candidats. On vous en dit plus ce samedi 26 mars 2022. 

À ce propos, le gouvernement a crié trois ateliers au niveau du ministère de l’Industrie qui s’occupent du dossier automobile. La première étudie les dossiers des concessionnaires afin de délivrer les licences d’importation de voitures en Algérie. Un Comité technique procédera à la sélection des dossiers acceptés, comme le stipule le décret exécutif n° 1775-21 du 03 mai 2021. Le deuxième atelier étudie le nouveau cahier des charges, rapporte Echorouk

Pour mémoire, le Président Tebboune a ordonné une révision du cahier des charges actuel. Quant au troisième atelier, celui-ci mène les discussions entre les concessionnaires automobiles nationaux et les fabricants étrangers. Cela concerne le dossier de l’installation et de la fabrication de véhicules dans notre pays. Néanmoins, aucun de ces ateliers n’a encore pris de décision. 

- Publicité -

D’autre part, la même source a indiqué que le groupement des concessionnaires automobiles a exprimé son mécontentement face à la réponse du ministère de l’Industrie. L’organisation, dans une correspondance au ministre de tutelle, que le Comité technique a conservé 9 dossiers depuis septembre dernier. Selon eux, les dossiers non acceptés remplissent toutes les conditions exigées par la commission.

Les concessionnaires s’opposent à l’importation individuelle 

Dans le même sillage, le groupement des concessionnaires a également dénoncé l’importation individuelle des voitures depuis l’étranger. Selon eux, certains citoyens importent eux-mêmes leurs véhicules. En soulignant que ce processus dépend de l’approvisionnement en devises sur marché noir. Ce qui est contraire à la loi.  

Par ailleurs, les agents en question ont fait savoir que le parc automobile national vieillissait. Ce phénomène est, selon eux, à l’origine de la plupart des accidents de circulation. Ajoutant à cela l’absence des pièces de rechange. De son côté, le ministère de l’Industrie a affirmé avoir convoqué quatre (04) agents. C’était pour le motif lié à l’interdiction d’exercer une activité commerciale sur des propriétés agricoles.

- Publicité -

Derniers articles

- Publicité -

Nos lecteurs ont lu aussi

- Publicité -

A découvrir

- Publicité -
- Publicité -