Algérie – Le sous-directeur de la circulation routière au ministère des Transports, Abdelghani Hamani, a révélé que le contrôle technique automobile a interdit 250.000 voitures de circuler.
En effet, le directeur adjoint de la circulation routière au ministère des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Hamani, a indiqué que l’organisme de contrôle technique automobile en Algérie, a interdit la circulation de près de 250.000 voitures, rapporte Echorouk, ce vendredi 28 mai 2021.
Dans le détail, lors son intervention dans une émission diffusée sur les ondes de la Radio chaine 1, Hamani s’est exprimé. Il a abordé le sujet de la sécurité routière. Il a notamment déclaré qu’un quart de million de véhicules ont été empêchés de circuler sur les routes du pays depuis le début de l’activité. Soit en 2003.
D’autant plus qu’il a déclaré que l’opération de contrôle technique a touché pas moins de 52 millions de voitures à ce jour. Il est à noter que cette opération subit à son tour un afflux énorme de la part des automobilistes algériens.
Automobile en Algérie : le certificat de contrôle technique devenu un calvaire pour certains
En effet, au cours de ce dernier mois, les établissements de contrôle technique en Algérie reçoivent plusieurs dizaines d’automobilistes quotidiennement. Certains clients sont même prêts à passer la nuit devant l’agence. Cela, en faisant la queu pour avoir la chance de passer ce contrôle.
Sachant que, ce n’est pas toujours le cas pour certains, qui se font recalés à l’entrée. Les propriétaires sont souvent amenés à fermer les portes à 5h du matin. La cause serait, selon certains, les exigences des autorités. Ces derniers qui plafonnent le quota journalier maximal à 40 voitures pour chaque agence.
De ce fait, la délivrance de ce petit document. Qui reste tout de même indispensable pour la mise en circulation des voitures en Algérie. Celle-ci représente désormais un cauchemar pour un bon nombre. D’autant plus que la non-disponibilité de ce papier peut exposer le conducteur à de lourdes sanctions imposées par le Gouvernement.