Algérie – Cette fois, c’est au sein du parlement que le dossier de l’importation des voitures sur le marché national a été convié. Telle chose pour discuter de l’avenir de l’automobile en Algérie. Plus d’explications, ce 19 septembre 2021.
Effectivement, le dossier d’importation de voitures sur le marché automobile en Algérie a suscité l’intérêt des députés de l’Assemblée populaire nationale (APN). Cela lors de leur réunion à propos du plan d’action du gouvernement la semaine dernière. C’est d’après Sayarat Live.
« Pourquoi l’importation des véhicules est à l’arrêt ? ». C’est sur quoi s’interrogent les membres de l’APN, particulièrement pour ce qui est des voitures de moins de 3 ans. Et ce, malgré la légalisation de leur importation par le biais de la Loi de finances complémentaire (LFC 2021).
À leurs questionnements s’ajoute l’absence de textes d’application encadrant ledit processus jusqu’à présent. Mais on s’enquiert également sur le retard de distribution des licences d’importation aux nouveaux agents. Bien que le comité technique d’étude des dossiers ait commencé son activité le 25 mai. Ainsi, les premières licences devaient être distribuées le 5 juillet, dit-on.
La sécurité routière engage l’importation de voitures neufs
En vue des véhicules d’occasion qui circulent sur le marché de l’automobile algérien, la sécurité routière encourt des risques. C’est en tout cas ce qu’un membre du Mouvement de la société pour la paix (MSP) a abordé récemment. C’est également selon le site spécialisé.
Dans ce sens, le député Salim Teboub a déclaré que le dossier d’importation de voitures a connu un retard notable. De ce fait, le ministère de l’Industrie est désormais tenu de libérer les nouvelles licences d’importation dans un proche avenir, a-t-il avancé.
Le parlementaire note que la plupart des accidents de la circulation, enregistrés sur les routes algériennes, sont dus à la dégradation de la grange des véhicules. Cela a notamment été engendré par le manque de voitures neuves entrant depuis des années, précise-t-il.