Automobile – L’APOCE s’exprime au sujet du cahier des charges régissant l’importation et le montage de voitures neuves en Algérie. Dans la suite de ce numéro du 18 novembre 2022, Dzair Daily lève le voile sur les révélations de la susdite organisation.
Les premiers signes de la reprise de l’activité du secteur automobile sont désormais présents. Il y en a un d’ailleurs qui ne trompe pas ! C’est en effet la publication du cahier des charges relatifs à l’importation et à la construction de l’automobile en Algérie que l’APOCE décrit comme étant un très bon progrès. Il a effectivement officiellement été publié, hier, sur le Journal officiel (JO).
En effet, l’Organisation algérienne pour la protection du consommateur et son environnement (APOCE) a livré son avis sur la publication du nouveau cahier des charges. Rappelons que ce fameux document a pendant longtemps tenu en haleine le citoyen algérien. En plus des acteurs de l’univers des engins à quatre roues.
Toutefois, le glas d’une longue période d’attente a sonné. Le cahier des charges a enfin été dévoilé. Et cela, sous l’ordre du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Retrouvez davantage de détails sur ce sujet dans les paragraphes qui suivent.
Montage et importation de voitures : l’APOCE rend public son avis sur les dispositions du cahier des charges
En effet, l’Organisation algérienne pour la protection du consommateur et son environnement (APOCE) s’est exprimée au sujet du cahier des charges. Celle-ci a alors estimé que le décret exécutif fixant les conditions et les modalités d’exercice de l’activité des concessionnaires garantit les droits des citoyens algériens.
Dans une publication sur sa page Facebook officielle, le susdit collectif qualifie le décret en question de favorable au secteur automobile national. De ce fait, il a salué la mesure liée à l’interdiction d’importer des voitures à carburant diesel, qui s’applique uniquement aux voitures de tourisme.
« Quand les concessionnaires automobiles seront-ils prêts, avec les installations, les équipements et les technologies nécessaires, à obtenir la licence temporaire d’importation de la première voiture ? Vont-ils relever le défi d’y parvenir au cours du premier trimestre de l’année 2023 ? », s’est par ailleurs interrogé l’organisme présidé par Mustapha Zebdi.