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vendredi, 26 avril 2024
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Automobile : La loi 49/51 s’appliquera à l’importation des voitures en Algérie

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Algérie – L’heure de l’abolition des privilèges accordés au montage automobile a sonné. Le gouvernement a décidé de revenir vers les véhicules importés. Le ministre de l’Industrie a présenté certains aspect du nouveau cahier des charges relatif à l’importation de voitures que la règle 49/51 concerne.

En effet, le ministre Ferhat Aït Ali Braham a effectué un passage mercredi dernier sur les ondes de la Radio chaine 3. Il a clarifié au micro du média public que « tout nouvel agrément devra se soumettre à la règle 49/51 » en Algérie. Cette règle s’applique « à toute activité d’achat ou vente », y compris pour l’industrie automobile.

L’intervenant et invité de la station radio poursuit ses déclarations. Il affirme donc « qu’aucune marque étrangère ne pourra se prévaloir, d’un registre de commerce pré-existant pour continuer à proposer ses propres produits chez nous ».

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Le nouveau cahier des charges qui viendrait encadrer l’importation de véhicules, fixera des conditions qui se révéleront « plus contraignantes », a expliqué l’orateur. Elles seront alors plus pesantes et le membre de l’Exécutif nous explicite sur quels plans.

Automobile en Algérie : De l’aide étatique pour la transformation d’intrants et de composants

Cela « en matière juridique et en matière de droits pour le consommateur algérien »; précise-t-il dans ce sillage. Mais également « enlever certaines contraintes que nous estimons farfelues », à l’instar des « options obligatoires dans les véhicules ».

Le premier responsable du secteur de l’Industrie en Algérie souligne qu’à « l’avenir, cela consistera à s’adapter à la nouvelle mouture. Les textes juridiques et réglementaires sont quasiment prêts pour faire une véritable industrie ». Et d’ajouter que « les droits et taxes de l’État vont être récupérés intégralement ».

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Tous ceux qui présentent une volonté de « faire de la transformation d’intrants et de composants » se verront soutenus par l’État. Cependant telle aide ne serait pas inconditionnelle. La « condition d’atteindre les 30% d’intégration, et d‘apporter d’une bonne partie des fonds qui serviront à l’investissement », est indispensable.

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