People – La ravissante chanteuse algérienne, Kenza Morsli répond à une foire aux questions sur son compte Instagram et pose des conditions exigeantes pour se marier. Dzair Daily vous apporte plus de détails à cet égard, dans les lignes qui suivent.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le métier d’influenceur n’est pas une chose facile tous les jours. À force de vouloir étaler leur quotidien sur les réseaux sociaux, les abonnés des influenceurs sont de plus en plus curieux à connaître les moindres détails de leurs idoles. C’est le cas de l’Algérienne Kenza Morsli. Celle-ci répond définitivement à la question sur son état civil et pose ses conditions.
En effet, un bon nombre d’internautes s’intéressent de près à sa vie sentimentale. L’artiste a tenu à mettre les choses au clair à ce sujet une bonne fois pour toutes. Devant tant d’insistance de la part de ses followers, la jeune femme a voulu confier certaines conditions qu’elle espère trouver chez son futur mari.
Sur le ton de l’humour, l’artiste algérienne répond alors que son prince charmant devra lui procurer au moins un (1) château ou deux (2) pour qu’elle puisse s’engager dans les liens du mariage. De nature franche et directe, l’interprète de « Moustahil » n’a, encore une fois, pas mordue à l’hameçon. Elle préfère jouer la carte de la discrétion et ne pas divulguer les détails sur sa vie privée.
Algérie : Kenza Morsli agacée par les questionnements sur son état civil
En fait, ce n’est pas la première fois que la chanteuse algérienne répond à la question sur son statut sentimental qui semble l’agacer au plus haut point. Et ce ne sera très certainement pas la dernière fois qu’elle sera questionnée à ce sujet. En effet, la jolie blondinette organise fréquemment des séances de FAQ (Foire aux questions) sur son compte Instagram.
La question qui revient le plus souvent tourne autour de son célibat et de ses intentions de fonder une famille. Il est vrai que l’ancienne candidate de l’émission libanaise, « Star Academy » prend un plaisir à répondre à ses fans. Cependant, cette question en particulier demeure, pour elle, une ligne à ne pas franchir.
