People – Les deux grands rappeurs algériens, Didine Klach et Trap King en l’occurrence, s’affichent victimes de sorcellerie pratiquée par un artiste et une actrice en Algérie. Dzair Daily vous dévoile toute l’information dans cette édition du 30 août 2022.
Les histoires de sorcellerie reviennent encore une fois pour faire vibrer la Toile algérienne. Cette fois-ci, les victimes des actes de sorcellerie ne sont autres que deux noms d’artistes de musique très populaires en Algérie, dont le célèbre rappeur, Didine Klach.
Vous désirez en savoir davantage à ce sujet ? Ne bougez pas ! On vous dévoile tout, juste ici. En effet, la vidéo qui illustre cette affaire de sorcellerie a fait le tour des plateformes sociales DZ. Le passage qui s’étale sur quelques trois minutes a d’ailleurs été repris par la chaîne de télévision El Hayat TV.
Le locuteur raconte, en fait, l’histoire telle que racontée par un ami à lui. Dans le détail, le jeune homme a révélé que son ami s’était rendu dans un cimetière, où il est tombé sur un artiste qui était accompagné d’une femme.
Après leur départ, cette même personne était curieuse de savoir qui visitait l’artiste, et s’est alors rendue sur les lieux. Une fois sur place, le jeune homme a remarqué que la terre semblait remuée. Et à sa grande surprise, il y avait vraiment un sachet enterré dans ce même endroit.
Didine Klach victime de sorcellerie : qui se tient derrière cette affaire ?
Le locuteur a alors exposé le contenu du sachet dans ladite vidéo. Celle-ci avait trois (3) photos en tout. Sur deux d’entre elles, on voyait Didine Klach avec deux enfants. Tandis que sur le troisième cliché était affiché le rappeur Trap King. Ce qu’elles avaient toutes de commun est le manuscrit difficile à lire qu’on voit sur les trois photos.
Dans ce sillage, l’intervenant a indiqué que l’artiste qui se tient derrière cette pratique magique maléfique est très connu en Algérie. En outre, la femme qui l’accompagnait serait probablement une actrice algérienne aussi. Toutefois, le jeune homme n’a pas voulu dévoiler l’identité des personnages. Ni de quel artiste il s’agit, ni même le cimetière dans lequel s’est déroulé cette histoire. Les coupables restent donc inconnus.
