15.9 C
Alger
15.9 C
Alger
vendredi, 19 avril 2024
- Publicité -
AccueilÉconomieAutomobileVoitures d'occasion (moins 3 ans) en Algérie : Aït Ali persiste et...

Voitures d’occasion (moins 3 ans) en Algérie : Aït Ali persiste et signe

Publié le

- Publicité -

Algérie – Le ministre de l’Industrie s’est exprimé une nouvelle fois sur l’importation des voitures d’occasion (de moins de 3 ans) en Algérie, en indiquant que ce dossier « est clos ».

En effet, lors de son allocution, ce jeudi 11 février, devant les députés de l’Assemble Nationale (APN), le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali Braham, s’est exprimé à nouveau sur le dossier de l’importation des voitures d’occasion de moins de 3 ans en Algérie, rapporte le média arabophone El Hayat.

A ce propos, le ministre de l’Industrie a expliqué que le dossier des « voitures de moins de trois ans est clos ». Il poursuit en expliquant la raison derrière cette décision. Selon lui, cela revient au fait que ce n’est pas au citoyen de se rendre sur les marchés européens pour acquérir des voitures d’occasion, précise la même source.

- Publicité -

| Sur le même sujet : Devise en Algérie : L’importation de voitures d’occasion alimentera le square ?

« Ce n’est pas au citoyen ordinaire de se rendre sur les marchés européens pour acheter des voitures d’occasion de moins de 3 ans »; a déclaré le ministre de l’Industrie. « Ce sont les petits gangs sont les seuls bénéficiaires de l’achat et de la vente des voitures de moins de trois ans »; ajoute-t-il.

Rappelons que lors de son dernier passage devant les députés de l’Assemblée Nationale, le 21 janvier dernier; le ministre de l’Industrie avait été interpellé au sujet du gel de l’importation des voitures d’occasion en Algérie. Il avait expliqué à cet égard que l’importation des véhicules d’occasion est fortement liée au marché noir des devises.

| Lire aussi : Importation de voitures d’occasion de moins de 3 ans en Algérie : La raison du gel

Ainsi, Ferhat Aït Ali avait estimé qu’il serait inconcevable que l’État puisse financer un marché dont les revenus sont de sources illégales et inconnues. Le ministre de l’Industrie avait en outre rappelé que la réglementation bancaire algérienne n’autorise pas le transfert des fonds de transactions provenant du marché noir sans factures.

- Publicité -

Derniers articles

- Publicité -

Nos lecteurs ont lu aussi

- Publicité -

A découvrir

- Publicité -
- Publicité -