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Voitures importées en Algérie : Achaïbou veut un nombre d’airbags réduit

Algérie – Le président-directeur général du groupe Elsecom, Abdelhamid Achaïbou, appelle à la réduction du nombre d’airbags exigé pour les voitures importées. 

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En effet, le membre-fondateur de l’Association des concessionnaires automobiles algériens, Abdelhamid Achaïbou, soutient la révision du projet du cahier des charges de l’activité en question. Il a ainsi proposé de revoir certains points. Il est notamment question de celui relatif au nombre d’airbags exigé pour les voitures importées en Algérie depuis l’étranger.

C’est ce qu’a rapporté le site spécialisé Sayarat Live, mardi 20 avril 2021. À ce titre, Abdelhamid Achaïbou, l’un des doyens du secteur automobile, suggère d’abolir l’obligation de n’importer que les véhicules dotés de quatre (4) airbags.

Le P-DG d’Elsecom propose de se contenter des voitures pourvues de deux (2) coussins gonflables de sécurité. C’est la même norme adoptée dans un certain nombre de grands pays à l’image du Japon.

Importation de véhicules neufs : Les concessionnaires proposent

Par ailleurs, le même orateur a fait savoir que les agents accrédités ont déposé un dossier comportant seize (16) pages de propositions. Ces dernières portent, selon lui, sur le prochain cahier des charges. Le dossier comprend la suppression de la propriété obligatoire des espaces d’exposition.

Les concessionnaires proposent également d’abolir la limitation d’importer uniquement deux (2) marques. Ils sont d’avis que cette dernière n’est nullement avantageuse ni pour l’opérateur, ni le client, ni le Trésor public.

Automobile en Algérie : Nouvelles directives de Tebboune 

Outre les modifications proposées, le projet de loi concernant la révision du cahier des charges 20-227, relatif à l’importation de véhicules neufs, a ravi Abdelhamid Achaïbou. Il prévoit que cela apportera assurément une contribution considérable à l’économie du pays. Le projet lui fera épargner cinquante (50) millions de dollars américains.

D’autre part, Abdelhamid Achaïbou a appuyé la décision de l’interdiction d’importation de voitures de luxe. Il estime qu’elle est en faveur du citoyen algérien. Celui-ci, a noté le distributeur de marques automobiles, a du mal à s’offrir une voiture de cylindrée supérieure.

Il convient de rappeler que lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, Abdelmadjid Tebboune a fixé de nouvelles mesures à prendre. Ces nouvelles dispositions ont pour objectif de débuter l’importation de voitures neuves.

Le but consiste alors à amorcer la reprise de l’activité des concessionnaires. Elles visent également à relancer le secteur automobile dans son ensemble en Algérie.

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