Voyage – À deux jours de l’ouverture des frontières terrestres avec la Tunisie, les Algériens véhiculés reçoivent une bonne nouvelle. Découvrez de quoi il s’agit dans les quelques lignes qui suivent.
Après une longue période d’attente, les touristes algériens pourront enfin se rendre au pays de Kaïs Saïed cet été. Les frontières terrestres entre les nations voisines rouvrent à partir du 15 juillet après plus de deux (2) ans de fermeture à cause de la crise sanitaire. On annonce, alors, une bonne nouvelle pour les Algériens véhiculés se rendant en Tunisie. Le Soir d’Algérie rapporte l’information.
Des centaines de citoyens algériens s’apprêtent à rejoindre la Tunisie pour passer quelques jours de vacances. De leur côté, les principaux intervenants dans le secteur touristique en Tunisie s’activent pour accueillir leurs voisins algériens dans les meilleures des conditions. Dans le cadre des préparatifs, le ministre tunisien de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine a fait savoir que des mesures exceptionnelles ont été prises pour bien accueillir les touristes DZ.
Parmi ces mesures, le ministre a indiqué que les touristes automobilistes algériens se verront exemptés de la pose de sabots des véhicules. Ainsi, ils ne seront plus soumis aux procédures de pose de sabots. Cela en cas d’infraction à la règle sur le stationnement. Un casse-tête de moins pour les DZ qui comptent se rendre en Tunisie en voiture.
Algérie – Tunisie : l’ouverture des frontières terrestres conditionnée à certaines mesures
Cependant, les voyageurs algériens doivent connaître le nouveau protocole sanitaire avant d’entrer en Tunisie. Ces derniers devront, en effet, présenter certains documents pour se rendre là-bas. Il s’agit d’un pass sanitaire ou un test PCR réalisé dans les 48 heures avant le voyage. Ou alors un test antigénique effectué dans les 24 heures.
C’est ce qu’a fait savoir le président de l’Office national du tourisme tunisien, Fouad El Oued, au quotidien arabophone Echorouk. Les Algériens désirant entrer en Tunisie doivent ainsi se soumettre au protocole sanitaire au risque de se voir refuser l’entrée au territoire tunisien.