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jeudi, 25 avril 2024
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Santé : une nouvelle maladie chronique en Algérie

Publié le

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Santé – Les spécialistes appellent à l’obligation de définir une maladie gynécologique très commune en Algérie comme un cas chronique. Dzair Daily vous apporte plus de détails à ce sujet dans les lignes qui suivent. 

En fait, il s’agit de l’Endométriose, qui est censée être considérée comme une maladie chronique, estime les spécialistes de santé en Algérie. Cela, soulignent-ils, eu égard aux complications que subissent les femmes atteintes par la pathologie gynécologique en question. Ainsi, si vous voulez en savoir plus, nous vous invitions à lire l’intégralité de cette nouvelle édition du 18 septembre 2022.

À l’issue de la deuxième journée de la 17e Conférence de l’Association nationale des spécialistes en obstétrique-gynécologie, le Dr Benaibouch a abordé les symptômes de l’Endométriose.

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Selon lui, les femmes souffrant de cette dernière se heurte à de fortes douleurs durant le cycle menstruel et les rapports sexuels ainsi qu’aux troubles urinaires. Le même médecin a en outre fait savoir que les concernées rencontrent des difficultés à l’accouchement.

Il a alors souligné que l’Endométriose est une maladie immunologique et génétique à la fois. Elle empêche notamment l’écoulement du sang lors de la survenue des règles, a-t-il encore affirmé. Ce dernier a ainsi tendance à rester à l’intérieur de l’utérus, provoquant une douleur intense. Et cela, au niveau du bassin et au bas du ventre. Il s’agit là de ce qu’a expliqué Benaibouch. 

Dr Benaibouch insiste sur la prise en charge des femmes atteintes d’Endométriose par la CNAS

À en croire les révélations des spécialistes en obstétrique-gynécologie, rapportées par le journal Echaab, l’Endométriose est une maladie chronique qui affecte les femmes âgées de 10 à 50 ans.

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D’ailleurs, ses symptômes persistent chez certaines femmes même après la ménopause. Par ailleurs, les professionnels de santé algériens estiment que ladite maladie est à l’origine de plusieurs phénomènes. Soit, notamment, le redoublement scolaire et les absences récurrentes des travailleuses dans les milieux professionnels.

De ce fait, Benaibouch a insisté sur l’obligation de la prise en charge de l’Endométriose par la CNAS. D’autant plus qu’il s’agit, de son avis, d’une maladie se caractérisant par des symptômes assez difficiles et dont le traitement est très coûteux.

Par la même occasion, la responsable de l’Association de la sensibilisation à l’Endométriose a souligné la nécessité de détection précoce de l’Endométriose. En effet, cela permettra, dit-elle, de freiner la croissance du nombre des victimes de cette maladie, considérée, encore aujourd’hui, comme tabou dans la société algérienne.

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