Foot – La Fédération algérienne de football (FAF) fait un pas audacieux en demandant la gestion du stade Nelson Mandela de Baraki. Cet article explore les implications de cette demande et l’impact potentiel sur le football algérien.
La Fédération algérienne de football (FAF) a récemment pris une décision stratégique majeure, en manifestant son intérêt pour la gestion du stade Nelson Mandela, situé à Baraki. Cette démarche, confirmée par le président de la FAF, Walid Sadi, marque un tournant dans la gestion des infrastructures sportives en Algérie.
Selon les déclarations de Walid Sadi à l’Agence Presse Algérie (APS), la FAF a officiellement sollicité les autorités pour obtenir les droits de gestion de cette enceinte sportive de renom. L’objectif est de rehausser le niveau de maintenance et de gestion de ce joyau architectural, considéré comme un symbole de l’excellence sportive en Algérie.
Le stade de Baraki, baptisé en l’honneur de Nelson Mandela, est une infrastructure impressionnante qui a soulevé l’admiration tant au niveau national qu’international. Cependant, des inquiétudes ont été soulevées concernant la dégradation rapide de sa pelouse, soulevant des questions sur la qualité de sa gestion actuelle.
Dans ce contexte, la FAF envisage de prendre des mesures immédiates pour améliorer les conditions du stade. Notamment en renouvelant la pelouse, dès l’acquisition des droits de gestion. Cette initiative reflète ainsi l’engagement de l’instance footballistique algérienne à fournir les meilleures conditions possibles pour les joueurs et les spectateurs, et à maintenir le stade Nelson Mandela comme un modèle pour les infrastructures sportives en Algérie.
L’issue de cette demande est encore incertaine, mais Walid Sadi se montre optimiste quant à la progression des négociations. Si la FAF parvient à obtenir la gestion du stade, cela pourrait marquer le début d’une nouvelle ère pour le football algérien, avec des améliorations significatives dans la qualité et la gestion des installations sportives.