Algérie – La comédienne Malek Djeriou a été l’invitée d’une émission télé durant laquelle elle a été conviée à donner son avis sur le post mis en ligne par Rita Johal, ex-épouse de Riyad Mahrez, dans lequel elle a énuméré « les défauts » de l’international algérien.
L’animatrice du programme télévisé de la chaine Echorouk TV, qui invite à chaque fois un ou une influenceuse sur le web, évoque, face à Malek Djeriou, la publication sur Instagram de Rita Johal, ancienne femme de Riyad Mahrez, dans laquelle elle a étalé quasiment tous les reproches qu’elle avait contre lui.
« Riyad en tant joueur est très bon. Mais en tant que mari et homme, c’est une très mauvaise personne ». Ce sont là les déclarations du mannequin anglais telles que citées par la présentatrice. « Il m’obligeait à préparer du pain de blé », a écrit Rita Johal entre tant d’autres choses.
« Nous les Algériens, on est ainsi faits », explique Malek Djeriou. « Elle aurait dû se renseigner sur Mahrez dès qu’elle avait su qu’il était Algérien ». En adoptant le ton de la voix de son personnage baptisée « Malika », la comédienne poursuit dans le même ordre d’idées. Selon elle, Rita devait donc savoir qu’en l’épousant il serait question de pétrissage.
Un lien familial avec Abdelkader Djeriou ?
En fait, « c’est ça l’homme algérien », estime la jeune femme. « Son épouse doit obligatoirement lui préparer tous ces trucs », ajoute-t-elle. À la question si cela ne lui paraissait pas bizarre, la comédienne affirme que l’exigence de Riyad Mahrez pour son ex-femme est tout à fait ordinaire.
Une interrogation s’est par ailleurs imposée au cours du passage de Malek Djeriou par le plateau de la chaine arabophone. Elle concerne son éventuel lien familial avec le comédien à succès Abdelkader Djeriou. Malgré la transcription identique de leurs patronymes, les deux artistes n’appartiennent pas à la même famille.
C’est ce que souligne l’invitée de l’émission. « C’est un ami très proche et très ancien », confie-t-elle. « C’était lui, continue Malek Djeriou, qui m’a fait intégrer le théâtre à Koléa. Il réussit à tout ce qu’il touche. J’aimerais bien sûr qu’il me sollicite un jour à participer à l’un de ses travaux ».
