Foot – Passé la trentaine, Riyad Mahrez se sent encore en bonne forme et espère donner pour quelques années encore avant sa retraite. Pour les curieux, ne bougez pas ! On vous en dit plus dans ce nouveau numéro de Dzair Daily.
Il est connu que les joueurs de football arrêtent généralement leur carrière entre 32 et 35 ans. Cela, à cause de l’endurance et des exigences physiques que demande cette profession. En suivant ce raisonnement, on déduit donc qu’il ne reste que quelques années uniquement à Riyad Mahrez avant qu’il ne prenne sa retraite.
En effet, à 31 ans, l’international algérien n’est plus tout jeune dans le monde du football et devra se retirer dans les années à venir. Cependant, la star des Fennecs se dit encore en forme. Il compte, par conséquent, rallonger sa carrière au maximum. Découvrez ses propos dans les lignes qui suivent.
Riyad Mahrez confiant en ce qui concerne la longévité de sa carrière de footballeur professionnel
En fait, c’est à l’issue d’une entrevue accordée au journal britannique Daily Mail que le nouveau papa s’est prononcé. Dans le détail, l’attaquant des Citizens s’est exprimé sur sa capacité à poursuivre longtemps sa carrière de footballeur professionnel. « En ce moment, je me sens bien et je pense que je peux continuer à jouer pendant longtemps », a-t-il déclaré. Avant de poursuivre dans ce même sillage :
« Grâce à ma nature et mon physique, je sens que je suis en très bonne forme en ce moment, et je n’ai pas perdu le rythme », explique-t-il encore. Selon lui, plusieurs raisons font qu’à 31 ans, il est toujours aussi performant ou presque comparé à ses débuts dans le football. Ainsi, cette forme physique revient au fait qu’il soit maigre.
En plus du fait qu’il n’ait manqué aucune séance d’entraînement tout au long de sa carrière. Ce n’est pas tout ! L’international algérien rappelle aussi qu’il n’a subi aucune blessure. Ce qui est une bénédiction par rapport à d’autres footballeurs qui ont vu leur rêve s’écrouler brutalement à cause d’un problème de santé ou d’une blessure plus ou moins grave. À noter, par ailleurs, que tous ces propos ont été tirés du quotidien arabophone Ennahar.