Algérie – Après l’acquisition du vaccin contre le coronavirus et le lancement de la campagne de vaccination, le gouvernement algérien de procéder à la production et la conception du vaccin au sein de laboratoires nationaux.
Vous n’êtes pas sans savoir que la campagne de vaccination contre le coronavirus a débuté il y a quelques semaines déjà en Algérie. Pour tenter de venir à bout de cette crise sanitaire, le gouvernement a pris d’autres décisions plus osées. Il a notamment était question de la production du vaccin contre le coronavirus dans des laboratoires en Algérie.
Il est toutefois prévu, dans un premier temps, d’acquérir des doses supplémentaires du vaccin. Le professeur Ryad Mahiaoui a notamment annoncé que le gouvernement projetait d’acquérir 40 millions de doses durant l’année 2021.
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Production du vaccin Spoutnik V en Algérie : Les déclarations de Lotfi Benbahmed
En effet, c’est ce dont a fait part le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, dans un entretien accordé, vendredi 12 février, à la chaine RT. Le ministre a alors informé d’un élément important
Il a expliqué que ce projet était en cours de négociation avec des responsables russes. Des procédures qui sont déjà très encourageantes, car Lotfi Benbahmed a ajouté que l’Algérie a déjà bénéficié de l’accord d’accès.
Celui-ci lui permet d’accéder à la plate-forme spéciale de fabrication du vaccin Spoutnik V. Ça servira, selon le même orateur, à être en possession d’informations clés concernant les caractéristiques techniques dudit vaccin.
Des informations qui seront utiles et primordiales dans la conception du vaccin, après l’obtention des outils nécessaires du pays producteur. C’est en tout cas ce que rapporte le site d’informations Algérie 360.
Qui aura la responsabilité de produire le vaccin et comment cela va se faire ?
Il est convenu, selon le ministre susmentionné, que ce soit le laboratoire Saidal qui aura la responsabilité de mener à bien le suivi du projet en question. Par ses expériences et moyens techniques, Saidal est effectivement le groupe pharmaceutique le plus apte à gérer une mission d’une telle ampleur. C’est donc ce dont fait état le média en ligne.
La deuxième consiste, quant à elle, à carrément produire la matière première. C’est justement la méthode que l’Algérie veut maîtriser et qui est actuellement en cours de négociation avec les autorités russes.
