Automobile – Renault Algérie rassure ses clients ayant passé des précommandes sur ses deux modèles de voitures, la Renault Symbol et la Dacia Sandero, ne sont pas concernés par l’augmentation des prix. Le reste, par contre, le seront tous. Apprenez les détails, ce 22 juin 2021.
En effet, Renault Algérie a récemment révisé les prix des voitures Renault Symbol et Dacia Sandero Stepway. Celles-ci ont subi une augmentation significative de leurs prix. Ce qui a poussé les clients ayant déjà passé leurs commandes avant le début de l’année 2020 à se poser des questions. Ils cherchent à savoir si cette hausse des prix les concerne ou pas. AutoBip relate l’information.
Ces mêmes clients ont choisi de conserver leur commande avant le début 2020. Et ce, en signant un document qui atteste qu’ils acceptaient d’attendre la reprise de l’activité de l’usine du constructeur français établi en Algérie. C’est d’ailleurs à ce propos que la marque automobile s’est exprimée dernièrement.
Effectivement, elle s’est adressée aux acheteurs ayant préalablement passé leurs commandes de voitures provenant de l’usine installée à Oued Tlélat, située à Oran. À cet effet, elle les rassure. Renault Algérie les informe alors qu’ils ne sont pas concernés par cette hausse. Ils paieront l’ancien tarif qui est estimé à 2.039.000 dinars algériens pour la Sandero. Et 1.729.000 pour la Symbol.
Les prix des voitures de Renault Algérie après la hausse
Un des responsables de Renault Algérie s’est exprimé dernièrement sur les prix des voitures. Il avait annoncé qu’elles allaient subir une augmentation. Ce qui donnera 2.489.900 DA pour la Renault Symbol avec un moteur essence 1.6 litre, 80 ch. Une hausse considérable par rapport au prix appliqué en 2019.
De son côté, la Dacia Sandero Stepway, sur la finition d’un moteur essence 1.6 litre, est désormais estimée à 2.654.000 DA au lieu de 2.039.000 DA. Ce qui présente une augmentation assez conséquente au prix précédemment pratiqué.
Le même responsable actif chez la marque française, implantée en Algérie, explique cette hausse imposée aux voitures installées à l’usine d’Oran par, principalement, l’introduction de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Ainsi, que les frais de droits de douane.