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dimanche, 23 mars 2025
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Prix des fruits et légumes en Algérie : « Cette catégorie sont aussi des spéculateurs »

Publié le

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Algérie – En vue de lutter contre la spéculation quant aux prix des fruits et légumes, le ministère du Commerce ajoute une autre catégorie considérée comme étant des spéculateurs. On vous en dit plus juste ci-dessous. 

Surenchère, spéculation, prix exorbitants, fruits et légumes hors de portée, des citoyens qui frisent l’indécence, combien de fois le consommateur y a-t-il été confronté en Algérie ? Afin de mettre un terme à ce phénomène, les autorités chargées de réguler le marché, ont été amenées à intervenir à plusieurs reprises. Le ministère du Commerce agit encore dans ce sens. Il a alors fait savoir qu’une autre catégorie de spéculateurs faisait également partie du lot. 

Encore une fois, des instructions viennent d’être données pour casser cette chaîne de spéculateurs. Cette fois-ci, le ministère du Commerce a apporté quelques précisions. En fait, il affirme que tous les marchands, commerçants et agriculteurs possédant des chambres froides et des entrepôts sont dans l’obligation de les déclarer. Et ce, aux services de la Direction du commerce et de la promotion des exportations. 

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Par ailleurs, d’après ce que rapporte El Bilad dans son édition d’aujourd’hui, le ministère a en outre averti les commerçants possédant des entrepôts ou des chambres froides. Ceux qui ne les ayant pas déclarés. Cela se considérera comme étant un agissement spéculatif. Il y aura des sanctions prises à leur encontre pour cette pratique. Notamment, la saisie des produits entreposés. S’ensuivra l’arrêt de l’activité. 

Prix des produits alimentaires : vers la révision de la loi

Pour mettre fin à cette problématique, le ministre du Commerce et de la Promotion des Exportations, Kamel Rezig, a fait récemment une annonce. Il a a’ors déclaré que ses services ministériels sont sur le point de mener une révision d’un certain nombre de textes juridiques. C’est donc afin de stopper « l’hémorragie ».

En outre, la tutelle a émis certaines directives fermes. Cela s’est essentiellement porté sur l’impératif de réguler le marché pour certains produits agricoles. En insistant sur le travail en collaboration avec les différentes commissions mixtes. Toujours dans l’unique objectif de cesser les pratiques de spéculation. 

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