Algérie – La directrice générale de la société allemande Wintershall Dea est en discussion avec le ministre de l’Énergie pour investissement. Dzair Daily vous en dit plus à ce sujet dans la suite de cette édition du mercredi 7 septembre 2022.
En effet, l’investissement en Algérie est au centre des discussions du ministre de l’Énergie et des Mines, Mohamed Arkab, avec la directrice générale de Wintershall Dea Europe, Moyen-Orient et Afrique du nord, Dawn Summers. L’échange entre les deux parties a porté principalement sur le renforcement des partenariats dans le domaine des hydrocarbures. Il s’agit de ce que rapporte le site arabophone El Bilad.
Profitant de cette occasion, le ministre algérien de l’Énergie et des mines, Mohamed Arkab a vanté les opportunités d’investissement qu’offre l’Algérie dans le secteur. Soulignant que la nouvelle loi sur les hydrocarbures offre de nombreuses facilités aux investisseurs. Et le domaine de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures est en pleine expansion. Il reste également ouvert à la contribution d’entreprises étrangères.
Par ailleurs, les deux intervenants ont discuté de l’éventualité d’un partenariat dans le domaine du transport de l’hydrogène. Mais aussi du transport de carburant et du captage et stockage du carbone. À l’issue de cette réunion, les deux responsables ont prévu d’organiser des rencontres entre la Sonatrach et l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures avec des représentants de Wintershall.
Algérie – Allemagne : de futurs partenariats dans le domaine de l’énergie
S’exprimant en marge de cette rencontre, la directrice générale de Wintershall, Dawn Summers, a souligné la volonté de son entreprise de renforcer sa présence en Algérie. Elle a également indiqué qu’un partenariat énergétique fort se profile entre les deux pays. Et que les discussions avec le ministre algérien de l’Énergie ont été très fructueuses.
Dans un autre contexte, le ministère français de l’Énergie cherche à augmenter le volume des importations de gaz fournis par la Sonatrach. Cette démarche intervient dans le contexte de diversification des sources de gaz importées par la France. Particulièrement après le début du conflit Russo-ukrainien et la suspension des approvisionnements en gaz russe.