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vendredi, 29 mars 2024
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Pandora Papers : l’Algérie pas concernée

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Algérie – Notre pays, l’Algérie, ne figure pas sur le rapport de l’enquête Pandora Papers, qui met en lumière l’usage extensif des paradis fiscaux par certains dirigeants et personnalités publiques. On vous en dit plus à ce sujet ce lundi 4 octobre 2021.

Le Consortium international des journalistes d’investigation a mené une nouvelle enquête. Cette dernière a eu l’effet d’un tremblement de terre dans le milieu opaque des grandes fortunes. En effet, selon le rapport de l’ICIJ, plusieurs dirigeants sont affiliés à des sociétés nichées dans des paradis fiscaux offshores. Cependant, l’enquête baptisée Pandora Papers ne concerne pas l’Algérie.

Effectivement, après deux ans d’enquête, le Consortium international des journalistes d’investigation a lâché une nouvelle bombe. L’organisation basée à Washington a rendu public ce dimanche un nouvel exposé. Ce dernier révèle l’existence de plus de 29.000 sociétés offshore à travers le monde. Plusieurs dirigeants politiques ainsi que des célébrités, d’un peu partout dans le monde y sont impliqués.

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Du côté algérien, aucune personnalité publique ne fait partie pour l’instant de la liste de Pandora Papers. C’est de toute manière ce que rapporte le média arabophone Ennahar. Il convient de noter que ladite enquête se base sur des documents provenant de 14 sociétés de service offshore. C’est ce que mentionne la même source médiatique.

Des dirigeants africains cités  dans l’affaire Pandora Papers

En effet, le rapport publié par l’association américaine, implique de riches élites de plus de 200 pays. Mais aussi plus de 330 politiciens et dirigeants. Figurent aussi sur la liste 130 milliardaires ainsi que des célébrités et des fraudeurs. Les concernés ont dissimulé des avoirs dans des sociétés offshore. Et ce, à des fins d’évasion fiscale.

Parmi les personnalités citées dans ce scandale, des présidents de l’Ukraine du Kenya et de l’Équateur, le Premier ministre tchèque et le roi de Jordanie Abdallah II. On cite également l’ancien Premier ministre britannique, Tony Blair et la chanteuse Shakira. C’est selon le même média. En ce qui concerne le Maroc, plusieurs dirigeants sont soupçonnés d’avoir créé illégalement des sociétés à l’étranger. Néanmoins, l’organisation n’a pas encore divulgué leurs noms.

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