Économie – Le nombre d’entreprises exportatrices algériennes s’accroît et atteint environ 2.000 opérateurs. Dzair Daily vous livre davantage d’informations à cet égard, dans ce numéro du 14 juillet 2022.
En effet, le nombre d’entreprises exportatrices algériennes a considérablement augmenté au cours de l’année 2022, après avoir atteint près de 2.000 établissements. Il s’agit de ce qu’a révélé le président de l’association nationale des exportateurs algériens, Ali Bey Nasri. le quotidien arabophone Echorouk rapporte l’information.
En outre, Bey déclare dans une interview accordée à la radio nationale que le nombre d’exportateurs en Algérie monte à 800 institutions exportatrices en 2021. Et ce, selon les chiffres officiels des douanes. Il souligne également que cette hausse traduit par « Une augmentation des exportations hors hydrocarbures, de 2 milliards de dollars à 7 milliards de dollars ».
Dans le même sillage, le porte-parole attribue cette évolution à la présence d’une volonté politique d’investir. Notamment avec la signature de l’accord de « Libre-échange africain ». De son côté, l’économiste Omar Haroun s’attend à ce que la valeur des exportations algériennes hors hydrocarbures atteigne 10 milliards de dollars avant la fin de l’année.
Économie : L’Algérie rejoint officiellement la Banque africaine d’import-export
Effectivement, le 15 juin dernier, l’Algérie a officiellement adhéré à la Banque africaine d’import-export. Bien sûr, après avoir signé un décret présidentiel approuvant l’accord fondateur de la banque, signé en Côte d’Ivoire en 1993.
Entre autres, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, signe un décret présidentiel. Celui-ci comprend « L’adhésion de l’Algérie à l’accord portant création de la Banque africaine d’importation et d’exportation ». Il s’agit de ce qui ressort du dernier numéro du Journal officiel n°39.
Il convient de noter que la Banque africaine d’import-export est une institution financière qui finance des projets commerciaux à l’intérieur et à l’extérieur de l’Afrique. En fournissant des solutions de financement visant à accélérer les opérations de fabrication et de commerce dans la région.
En 2020, cette banque a alloué plus de 6,5 milliards de dollars américains. Afin d’aider les pays membres à gérer les effets négatifs de la pandémie de la COVID-19. Elle a également décaissé plus de 42 milliards de dollars américains entre 2016 et 2020. Et ce, afin de financer plusieurs projets au profit des États membres.
