Algérie – Une nouvelle application pour découvrir les films algériens a vu le jour. Pour les curieux, ne bougez pas ! On vous en dit plus, juste ci-dessous.
Le Centre National du cinéma et de l’audiovisuel a créé un moyen qui ravira tous les amateurs du septième art. Et pour cause, il est question de la création d’une application spécialisée dans les films algériens. Vous êtes intéressé et vous voulez en savoir davantage ? Ça tombe bien ! On vous livre, dans ce nouveau numéro de Dzair Daily, plus de détails à cet égard.
En fait, le centre susmentionné a lancé une application interactive au format APK qui permettrait, sur le papier, de vivre une expérience impressionnante et unique pour retrouver en quelques clics tous les films algériens. Sachant que ce projet vient en application aux recommandations du ministère de la Culture et des Arts.
Et ce, concernant l’extension et la vulgarisation de la numérisation dans toutes les institutions culturelles sous la tutelle du ministère. Ce qui vient dans une démarche de valorisation du produit cinématographique qualitatif dont regorge notre pays. C’est ce que rapporte le quotidien arabophone Ennahar dans son récent numéro.
« Live posters » : quel est le concept de cette application ingénieuse ?
Dans le détail, le ministère de la Culture a indiqué que l’application « Live posters » avait pour mission de convertir les affiches papier des films algériens en images interactives. Ce n’est pas tout ! Cet outil permet également à l’utilisateur d’accéder aux résumés et aux synopsis des films. En plus, d’accéder à l’histoire du cinéma algérien à travers les fiches d’informations de chaque film.
Pour cela, il suffit de scanner l’affiche du film en question. Qu’il s’agisse d’une feuille imprimée, d’un poster ou d’une affiche murale. Ou encore, d’affiches imprimées sur des livres, des magazines ou même sur des écrans de téléphones portables (smartphone). En outre, le plus pratique dans cette application est le fait qu’elle fonctionne sans Internet. C’est ce dont nous informe la même source. Alors, convaincus ou pas encore ?
