Algérie – Un jeune infirmier algérien crée l’événement et fait la fierté de son pays en élaborant une invention médicale révolutionnaire.
En effet, un jeune infirmier algérien qui répond au nom de Razik Chikhi a été l’auteur d’une invention médicale très ingénieuse. Il est âgé de 37 ans et est originaire de la ville de Béjaïa. Pour plus de détail, cette invention va donc permettre de révolutionner la chirurgie endoscopique en Algérie et dans le monde.
En outre, Razik Chikhi a accordé un entretien aujourd’hui, 04 janvier au quotidien francophone Liberté. Il a ainsi profité de cette entrevue pour s’exprimer sur son invention et expliquer son fonctionnement. Ce dispositif est décrit par l’infirmier comme étant « un dispositif d’irrigation de la chirurgie endoscopique, muni d’une poche de stockage de solutés médicalisés stérile intérieur/extérieur ».
L’inventeur affirme que cet appareil pourrait servir dans plusieurs domaines. Il a notamment cité la chirurgie arthroscopique. C’est-à-dire que ce dispositif permettrait d’aider dans tout ce qui concerne « la coiffe des rotateurs, la réparation des tendons de la coiffe, acromioplastie, ligamentoplastie, etc. », informe l’orateur.
Ce n’est pas tout, car l’infirmier ajoute que cette invention pourrait également être utile pour la chirurgie gynécologique. Il développe en précisant que ce même appareil aiderait dans « la résection des fibromes, polypes, malformations utérines (cloison), etc ». C’est ce que rapporte effectivement le quotidien francophone.
Quelle est la nouveauté concrète qu’apporte cette invention ?
Ainsi, l’infirmier Razik Chikhi a fait l’exploit d’élaborer un appareil médical révolutionnaire. On sait d’ores et déjà que cette invention pourrait servir dans plusieurs domaines de la médecine et notamment dans différentes chirurgies. Cependant, quelle est la nouveauté et la révolution concrète qu’apporte cette invention ?
Il est évident que cette invention pourrait apporter un vrai plus à la médecine du futur. L’infirmier s’est justement confier à cet effet lors de la même interview. Il a ainsi proféré que le grand avantage de son appareil était de réaliser « une irrigation permanente ».
En d’autres termes, ce dispositif permettrait d’alimenter de façon continue les solutés. Et cela contribuera, par la même occasion, à empêcher l’air de s’introduire dans la tubulure. Une complication qui coute des heures supplémentaires aux chirurgiens, révèle le journal susmentionné.
Pour être bref, cette ingénieuse idée aidera à « réaliser un geste opératoire confortable, rapide et sans difficulté », explique l’infirmier. La prochaine étape pour l’inventeur algérien est d’obtenir un brevet de sa création, si toutefois cette dernière n’est pas déjà existante et inventée par une autre personne. Cela sera alors vérifié par le conseil scientifique. C’est sur quoi a conclu la même source.