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jeudi, 28 mars 2024
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Importation voitures d’occasion : tout ce que les Algériens doivent savoir au préalable

Publié le

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Automobile – Depuis son annonce officielle, la réautorisation d’importation de voitures d’occasion par les particuliers algériens est sur toutes les lèvres, amenant, au passage, son lot de questions. Plusieurs interrogations, qui taraudent, auxquelles nous allons tenter d’apporter une réponse dans les lignes qui suivent. 

Le gouvernement s’emploie à tirer d’affaires, autant que faire se peut, le marché automobile, longtemps englué dans une crise profonde. Pour ce faire, il a rouvert la voie à l’importation de voitures d’occasion de moins de trois (3) ans au bénéfice des citoyens algériens.

Une décision qui a ainsi et rapidement donné lieu à un questionnement. Mais une seule des interrogations soulevées revient, se repose avec insistance et s’impose dans tous les débats. Celle de savoir si le prix de revient de l’engin importé sera à la portée de l’Algérien ou pas. 

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La réponse ici dépend, d’abord, de comment la loi appliquée caractérisera le moyen de transfert des devises à l’étranger. Cela lors de l’opération d’achat d’une quelconque automobile. Autrement dit, il est difficile de se prononcer réellement sur la question sans savoir si ce dernier se fera par l’intermédiaire d’une banque ou des proches des acheteurs.

Ceux résidant hors du territoire national. C’est en tout cas ce qu’a rapporté le quotidien Echorouk ce mardi 11 octobre 2022. La même source médiatique croit, toutefois, savoir par quel moyen la population peut désigner le terme d’une importation du produit choisi, plus ou moins, accessible.

Elle indique à cet égard que dans le cas où une voiture est achetée auprès d’une institution sise au sein de l’espace Schengen, tout intéressé bénéficiera du droit à déduction de la TVA à la sortie de l’article en question du territoire européen. 

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Importation automobile en Algérie : voitures de moins de 3 ans d’âge dans la ligne de mire du citoyen 

Pour élucider le point susmentionné, le média arabophone a cité en exemple l’importation automobile depuis le territoire métropolitain. « En France, la taxe est de 19 %. Ce qui signifie qu’une voiture à 10 mille euros coûtera à l’acheteur algérien 8.000 €. Une somme à laquelle s’ajoutent les frais de transport », précise-t-on alors.

À l’entrée sur le territoire Dz, tout engin à quatre roues importés sera soumis à la TVA (19 %). En plus des droits de douane. Ceux-ci sont tributaires de la valeur du véhicule, en d’autres termes, son prix et sa source. Ils dépendent, selon le susdit quotidien, notamment de la cylindrée du moteur. 

Un autre constat formulé par ce dernier semble par ailleurs explicite : le recours à l’importation de moins de trois (3) ans par les particuliers fera pression sur le marché des véhicules assemblés localement, au-delà des voitures actuellement disponibles sur les sites de ventes algériens. Une prochaine tendance probable que confirme Nadir Kerri, spécialiste du marché automobile.

« Il va y avoir une pluralité de marques en Algérie. Chose qui va créer un véritable redressement de la compétitivité-coût. Les voitures seront disponibles à des prix beaucoup moins chers que ceux observés actuellement, avec la disponibilité du service après-vente. En plus de la garantie et des pièces détachées ». C’est ce qu’a déclaré le susdit expert auprès d’Echorouk.

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