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mercredi, 24 avril 2024
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L’importation de voitures d’occasion en Algérie officiellement gelée

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Algérie – C’est à la marge de la conférence nationale des start-up ouverte aujourd’hui que le gouvernement d’Abdelaziz Djerad, par le biais de son ministre de l’Industrie et des Mines, a déclaré la nouvelle du gel de la décision liée à l’importation en Algérie des voitures d’occasion (moins de 3 ans). 

Le ministre de l’Industrie, Ferhat Aït Ali Braham, a annoncé aujourd’hui, samedi, à Alger que l’importation de voitures moins de trois (3) ans (occasion) en Algérie ; qui était incluse dans la Loi de finances (LF 2020) est désormais « gelée » ; rapporte le quotidien arabophone El Khabar dans la soirée de ce 3 octobre.

Le membre du gouvernement a déclaré à la presse : « Les importations de voitures de moins de 3 ans ont été gelées […] Nous ne voulons pas importer des carrosseries usées ; ni encourager le marché parallèle des devises fortes ».

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De plus, l’orateur a expliqué qu’« une voiture de moins de 3 ans ; à acheter en Europe » aura parcouru au maximum 20.000 km ». Ce faible kilométrage, souligne le premier responsable du secteur de l’industrie ; « rend ces voitures très chères pour le consommateur algérien à revenu moyen ».

Par ailleurs, « si notre intention est d’acheter des voitures de moins de 10 ans ; au lieu de voitures de moins de 3 ans, comme c’était le cas par le passé ; les carrosseries usées ne nous intéressent pas », a-t-il ajouté.

Importation de voitures d’occasion : Elle encouragerait le marché parallèle des devises, selon le ministre   

« Lorsque cette mesure a été incluse ; dans la Loi de finances (LF 2020), il n’y avait aucune possibilité ; d’importer des voitures neuves », a affirmé l’intervenant. D’un autre angle de vue ; le responsable a évoqué l’encouragement du marché informel de change.

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L’incidence de ladite importation ; sur cette sphère ne pourrait être ; selon lui, que positive. Telle chose, par contre, n’est pas à encourager ; par les politiques économiques officielles ; d’après les mêmes propos.

« Pour payer le montant des voitures d’occasion ; les gens auront recours au marché parallèle des devises ; alors que l’État ne peut en aucun cas encourager ce marché ». C’est ce qu’a dit le ministre dans ses déclarations ; qui nous sont parvenues par l’intermédiaire du journal d’expression arabe.

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